Box d'Alésia

Invité

Alésia
du Territoire de la Liberté

Nom

du Territoire de la Liberté

âge

race

-

propriétaire : Arianna Klanai

robe : Baie Brune.

sexe : Jument.

« Nous n'avons pas énormément de mots pour décrire Alésia. Elle est en même temps calme, mais active, vive. Elle n'est donc jamais régulière, mais écoute son cavalier quand elle le voudra. En effet, vous aurez beau vous opposer, elle pourra rester sans bouger, à vous regarder de ses yeux amandes. Cependant, ne la pensez pas toujours comme ça. Alésia peut se montrer très talentueuse dans certaines disciplines, comme le saut d'obstacle, compétence tirée de son père. Autre que ses qualités physique, elle est pleine de gentillesse et de patiente. La compagnie des enfants ne la dérangera pas, comme tout autre animal. Au box c'est un amour, qui adore les caresses. Si cette jument était un chat, vous pourriez l'entendre ronronner dès que vous la touchez. Ce n'est donc pas une jument très difficile, bien que curieuse et légèrement têtue. Profitez bien d'Alésia, car elle vaut largement touts les chevaux du monde.. »

sa fiche ♪

Invité

Objectifs avec Alésia !

- Accepte l'humain.
- Accepte le licol.
- Marche au licol.
- Pansage avec les brosses.
- Donne les sabots.
- Pansage complet.

Invité

Jeudi 10 Mai 2012.
Première approche et présentation du licol.

J'arrivais dans mes écuries. Aujourd'hui je passais ma journée avec Alésia, ou du moins, mon but était de m'occupé d'elle en priorité. La miss avait un peu plus de six, j'allais devoir commencé son débourrage. Je voulais commencer par le licol et les brosses. Objectif du jour, qu'elle n'est pas peur de l'humain et qu'elle se familiarise un peu avec le licol.

J'arrivait devant le box de la pouliche. J'ouvrais la porte. Elle avait encore grandit la petite puce. Je fis un pas vers l'avant, histoire d'aller dans le box. Je ne voulais pas brusquer Alésia, c'était le premier équidé que j'allais entièrement débourré et je ne voulais pas faire de fautes.

La jeune pouliche s'avança un peu. Elle tendit le coup, historie de pouvoir me sentir. Elle renifla puis parti à l'autre bout de son box. Je ne voulais pas qu'elle ait peur de moi, aussi je m'assis contre un des murs du box, après avoir vérifier qu'il n'y avait pas de crottins ou autres.

Voyant que je ne partirais pas aussi vite, Alésia, poussée par la curiosité, s'approcha. Elle renifla ma tête en premier, se qui était le plus proche d'elle et à sa taille. Elle me mâchouilla un peu les cheveux, je rigolai. Elle reparti au fond de son box. Je me retiendrais ou plutôt j’essaierai de me retenir.

La jeune pouliche tenta un troisième approche. Je la laissai faire cette fois. Quand elle se rendue compte que mes cheveux n'étaient pas comestible, elle me donna un petit coup, avec son bout du nez, sur la joue. Je rie un peu, mais elle ne partie pas. J'essayai de me relever. Elle fit quelque pas en arrière, se demandant surement se que j'allais lui faire.

Une fois debout, je tendis ma main vers elle. La petite miss hésita, puis elle vient me la sentir. Elle tendait son cou du plus qu'elle le pouvait. Peu à peu, elle s'approcha. Je tentai de bouger ma main. Elle hennit un petit coup mais ne bougea pas. Lentement, j'approchai ma main de son encolure. Elle me laissa la caresser.

Nous restâmes comme cela toutes les deux pendant pas loin d'une dizaine de minutes. Je ne voulais pas que la caresser aujourd'hui, je voulais aussi lui monter se qu'était un licol. J'avait dans l'idée de lui mettre à ma prochaine visite, je devais donc faire en sorte qu'elle n'en n'ait pas peur.

Je pris le licol que j'avais acheté pour elle, il était bleu marine, que j'avais posé à la porte du box. Je l'avais dans la main droite et je le tendis vers la pouliche. Comme pour moi, Alésia le senti. Elle n'avait pas trop l'air d'avoir peur. J'agitai un peu le licol pour qu'elle n'eut pas peur du bruit que ça faisait une prochaine fois. Elle recula, sur ses gardes. J'arrêtai de le bouger et elle se rapprocha.

J'approchai le licol de ses flancs. Elle regarda le moindre de mes gestes. Elle ne bougea cependant pas. Je touchai son dos avec ma main libre, puis avec le licol. Elle ne s'en occupa pas. J'allais donc la laisser la dessus pour aujourd'hui.

Je posai le licol à la porte et fis quelque petites caresses à la pouliche avant de partir. Je fermai bien le box derrière moi pour pas que la chipie l'ouvre et je parti.

Invité

Ton petit résumé (en premier post) m'aide beaucoup, merci. (:

confiance +6%
moral +5

débourrage 1/5 (port du licol & brosses)
débourrage +1

+ 3 pommes

Invité

Vendredi 18 mai 2012.
Port du licol et marche avec le licol.

J’arrivai au Territoire de la Liberté. Faisant le pont, j’avais toute ma journée. En se vendredi, j’allai essayer de mettre le licol à Alésia, ma pouliche quarter horse, ainsi que de la faire marcher avec le licol. La dernière fois que j’avais été la voir, je lui avais déjà montré le licol et touché le dos avec pour qu’elle est moins peur aujourd’hui, que se soit moins long aussi. Je préférai faire avec Alésia des petites séances de travail, je ne voulais pas trop en faire d’un seul coup. Tout en pensent, j’avais avancé jusqu’au box de la pouliche.

J’ouvris le box. Surprise, elle leva la tête. Elle se dirigea vers moi et hennit. Je la caressai. La belle se laissa faire. Je l’habituai un peu à ma présence avec des caresses et du bruit pour pas qu’elle ait peur le moment ou il y en aura. Je pris ensuite le licol.

Je lui montrai le licol. Elle recula un peu. Je tendis mon bras qui tenait le licol vers elle. Elle senti et me laissa l’approcher avec. Je lui touchai le dos avec. Elle bougea un peu sur le coup, mais resta vite tranquille. Je faisais des mouvements circulaire avec le licol sur son dos, à droit et à gauche. Plusieurs fois, en jeune pouliche joueuse, elle essaya de me le prendre des mains. Il y avait juste le licol, je n’avais pas encore mit la longe. De temps à autre, j’agitai le licol pour voir sa réaction. Les première fois, elle sursauta. Par la suite, elle ne bougea même plus. Au bout d’un moment, je décidai de lui mettre.

J’avais de la chance. Alésia adorait apprendre et était très curieuse. C’était très pratique pour mon tout premier débourrage complet. Je frottai à présent l’encolure de la pouliche. Elle avait fait un écart sur le coup, puis c’était laissée faire au bout de cinq bonnes minutes de persévérance. Je la caressai pour la féliciter. J’approchai le licol de plus en plus de sa tête. Avec de temps et de la patience, je réussi bientôt à lui toucher le nez, le chanfrein ou encore les oreilles avec le licol.

Je remis le licol correctement. Je touchai avec ma main libre le bout de son nez. Elle ne bougea pas. J’essayai ensuite de passer son nez dans le licol. Elle ne se laissa pas faire et recula. J’arrivai à lui passais le bout du nez pendant trois seconde au bout de la dixième fois peut-être. J’essayai de nouveau, encore et encore. Je ne lâchai pas prise et à chaque fois, je rassurai la pouliche et la félicitai au moindre propret. J’essayai une ultime fois avant de faire une pause. Miracle ! Je réussi à lui mettre sans qu’elle ne bouge. Je passai ensuite la têtière derrière les oreilles et attachai la sous-gorge.

Je lui laissai une dizaine de minutes, le temps qu’elle s’habitue et que j’aille boire un verre d’eau. Elle s’était grattée contre les murs du box pour enlever le licol, mais elle n’y parvenue pas. Je pris ensuite la longe.

- C’est bien ma belle, c’est bien !

Je la touchai avec la longe. Une fois qu’elle fut un peu habituée, j’accrochai la longe au licol. En entendant le petit bruit du mousqueton. Elle piaffa et se rua un peu. Elle essaya même de se cabrer, mais elle ne tient pas longtemps sur deux appuis. Je lui parlai doucement, essayant de la rassurer. Elle se calma peu à peu, mais elle resta sur ses gardes. Je la fis marchai un peu. Elle fut réticente au début, mais elle se laissa faire peu à peu. Un coup elle trottinait, un coup elle marchait, derrière moi. Je rigolai intérieurement. La pauvre puce ne savait plus comment on se déplaçait. Au bout d’un vingtaine de minutes, je lui enlevai son licol. Je la caressai longtemps. Je mis le licol à la porte et parti pour m’occuper de mes autres chevaux.

Invité

C'était vendredi 18 hier et non le 17 !

confiance +8%
moral +10

débourrage 3/5 (port du licol & brosses)
débourrage +2

+ 4 pommes

Invité

Dimanche 20 Mai 2012.
Tu vas être toute propre miss.

J'arrivai dans au Territoire de la Liberté. Maintenant qu'Alésia était là et que j'avais du temps, j'allais quasiment chaque jour avancer un peu plus dans son débourrage. Aujourd'hui, j'allais la panser et si possible, lui faire donner les sabots et les lui curer. Une tache pas facile, d’ailleurs, je trouvai le débourrage de plus en plus difficile.

Je pris le licol qui attendait à la porte du box. Je posai ma mallette au sol et entrai. Alésia se dirigea vers moi, contente. Je passai son nez dans la muserolle et la têtière derrière ses oreilles. J'attachai ensuite la sous-gorges. Elle essaya d'abord d'enlever son licol, mais ni arrivant pas, elle abandonna. Je la fis un peu marcher dans son box. Elle me suivait presque en trottinant. J'allais donc devoir lui faire travailler le pas. Et pour cela, rien de mieux que le marcheur. Mais mon but de la journée n'était pas là.

J'arrêtai la jeune jument. Elle grandissait de plus en plus la petite. J'attachai la longe à l'anneau qu'il y avait dans le box. Elle tira plusieurs fois dessus mais sans résultats. Je pris alors mon bouchon. Elle était un peu fragile à mon gout pour l'étrille. Je lui fis sentir le bouchon. Avec ma main, je lui touchai le dos. L'instant d'après, le bouchon remplaçait ma main. Elle ne dit rien. Je lui fis le dos entier avec le bouchon. Je pris ensuite la brosse douce. Je lui fis aussi sentir. Je lui brosser le dos, comme avec le bouchon. Je descendis doucement sur les membres. Elle leva l'antérieur droit, celui que j'étais en train de brosser. Je lui fis doucement les quatre membres. Au bout du troisième, elle ne levait plus son membre. Je la caressais. Je verrai la tête une prochaine fois. Je pris par la suite mon cure pied. Je lui fis sentir comme les brosses. Je mis ma main à son épaule antérieur droite. Je la descendis tout doucement. Elle s'appuya sur son antérieur gauche, mais ne leva pas le droit. Je refermai donc ma main sur son boulet. J'appuyais ensuite mon épaule sur la sienne. Elle leva alors son sabot. Je lui curai en cinq bonnes minutes car elle le reposa plusieurs fois. Je fis de même avec les autres sabots. Le dernier, elel le leva sans même que je lui demande.

Je la caressai longuement, lui enlevai le licol que je remis à la porte et lui embrassai le chanfrein. Je la félicitai et la caressai beaucoup. J'étais fière d'elle, fière de ma première pouliche. Le lendemain, je lui montrerai le tapis et la selle et si j'avais le temps, une petite balade en main lui ferait du bien pour voir se qu'il l'entour. Je partais la dessus, heureuse comme quand j'avais eu Joyeux, heureuse comme une gamine.

Invité

confiance +6%
moral +8

débourrage 5/5 (port du licol & brosses)
débourrage +2

+ 3 pommes