Box de Maniatico

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MANIATICO
des Étangs

nom complet

des étangs

âge

race

-

propriétaire : AxelleWtf

robe : Isabelle

sexe : Étalon

« Maniatico ? Pour faire court, le cheval parfait ! Toujours aussi câlin, toujours aussi compréhensif ! On pourrait croire que le penser parfait est un peu trop poussé, mais je vous assure que non. Que ce soit pour un débutant ou pour un cavalier de compétition, l'isabelle fait bien l'affaire ! Il sera vous faire progresser voire même vous emmener sur les plus belles compétitions. Ses disciplines de prédilections n'ont elles non plus pas changées, cela reste toujours le dressage et l'attelage. À vrai dire, il n'y a que son physique qui a changé : Maniatico a toujours cette apparence robuste et cette musculature, mais il a grandit et s'est affirmé. Une beauté ? Non, un cheval parfait ! »

sa fiche ♪

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« Happy Birthday. »
→ Découverte, vendredi 18.

Je refermai la porte du box de Philadelphia, cette beauté incarnée. Il me restait encore onze chevaux dont je devais m'occuper, j'étais complètement débordée. Je me dirigeai tout doucement vers la cour de mon domaine, et jetai un rapide coup d’œil à ma montre. Onze heures et demi, l'heure de l'arrivée d'un poulain dans mon écurie. Je l'avais trouvé sur le bon coin, acheté pas cher dans une association. Ses propriétaires avaient du s'en débarrasser, ils n'avaient plus d'argent. Maniatico. C'est tout ce que je savais sur lui. Je n'avais pas vu ses papiers, ni des photos, mais c'était une bonne action que j'avais faîte. Pourquoi arriver le jour de mon anniversaire ? Ça, c'était un hasard. Il nous venait tout droit d'Espagne, là où se trouvait l'association. Je m'assis contre un rocher, et sorti une bouteille de Ice Tea de mon sac à dos. J'avais envie de partir en balade, là, maintenant. Mais je devais attendre mon poulain et surtout, assister à la fête de mon anniversaire qui avait lieu à midi. Il fallait juste espérer que le chauffeur ne soit pas en retard. À peine avais-je dit ça que je vis un camion arriver droit devant moi, c'était lui, enfin. Je me relevai, et posai mon sac à dos ainsi que la bouteille dont j'avais déjà bu la moitié. Le chauffeur mit le frein à main, et je me dirigeai en sa direction. Il engagea en premier la discussion. Il avait un horrible accent espagnol, mais j'arrivais quand même à en comprendre la moitié.

Après plusieurs longues minutes de blabla, le chauffeur se dirigea enfin vers le fond du camion : là où se trouvait la porte de sortie. J'entendais des hennissements, des coups de sabots. À mon avis ils n'étaient pas seuls là dedans. C'est alors que la porte s'ouvrit, enfin. Il y avait effectivement pleins de chevaux, tous étaient magnifiques, des espagnols. Je vis enfin un petit poulain tout au fond du box. Il avait l'air posé, et amical. Je souris, voyant sa petite bouille d'ange qui se rapprochait de plus en plus. Enfin, il sortit. Je pus enfin découvrir son anatomie. Il avait une grande encolure, fine et musclée, des pattes élancées, chaussées de tâches noirs. Un magnifique mâle isabelle. J'avais l'impression de l'avoir déjà vu, mais pourtant, c'était la toute première fois. Je tendis ma main vers le poulain affolé, qui se calma rapidement. Il n'avait pas de licol, il n'était pas encore habitué et pré-débourré. C'était donc à moi de m'en occuper. Mais, pas aujourd'hui. Aujourd'hui c'était le jour de son arrivée, il avait le droit à du repos.

Les papiers signés, je me dirigeai maintenant vers l'écurie intérieure, tenant le petit poulain par les crins. Il me suivait naturellement, et malgré sa liberté, ne cherché même pas à fuir. Ça avait l'air d'être un bon poulain, qui allait maintenant vivre une belle vie. Nous arrivions justement à son box, que j'avais soigneusement préparé. Nouvelle litière, abreuvoirs propres et mangeoires de même. C'était un box plutôt bien aménagé, j'étais persuadé qu'il allait se plaire. J'ouvris doucement la porte du box, et laissai le petit poulain entrer dedans, comme un roi. Il n'avait pas l'habitude, et cherchait désespérément un cheval à qui faire des câlins. Son voisin était Démesure, je le conseillais de ne pas trop l'embêter. Je quittai alors le box, un sourire sur les lèvres. J'étais vraiment heureuse de pouvoir offrir une belle vie à ce magnifique poulain. Je regardai ma montre, midi mon cinq, il était temps que je me dirige à la salle de fête.

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confiance + 03 %
moral + 04

+ 02 pommes

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premier licol.

Je devais maintenant rendre visite à Maniatico, que je n'étais pas venue voir depuis mon anniversaire. Je me souvenais de lui, arrivant à bord d'un camion espagnol, rempli de beautés du sud. Je me souviens de lui, descendant, affolé par son nouvel environnement. Depuis, je n'étais venue le voir que pour changer son box ou pour lui donner sa ration de foin et tout ce qui allait avec. Mais aujourd'hui, je venais le voir pour poursuivre son pré-débourrage que je n'avais même pas commencé. Je pris donc la direction des écuries intérieures où se trouvait mes étalons et mes poulains, beaucoup plus protégés du froid. Il était là, en train de boire dans le seau d'eau que je changeai régulièrement. Je sifflai doucement, attirant son attention. Ce poulain était vraiment un amour, et malgré son jeune âge, il savait déjà m’impressionner. Je caressai doucement son encolure et entrai dans le box, contente. De suite, le cheval espagnol vint à ma rencontre, content recevoir un peu de visite. Mes chevaux n'étaient pas heureux, je le savais. Je ne venais pas assez régulièrement les voir et ça me désolé.

« Mais je ne t'oublies pas, petit poulain. »

Je sortis du box et m'emparai du licol poulain cheval, ainsi que de quelques brosses. Je ne savais pas encore si j'allais faire ça en une semaine ou faire ça sur deux séances, c'était à voir selon le caractère du petit cheval isabelle. Nous allions tout d'abord débuter par le licol, qui restait une chose importante pour le futur. Puis c'était plutôt une étape simple. Je posai le licol dans le box, le lui laissant à disposition quelques minutes. Maniatico n'en avait rien à faire. Je le pris entre mes mains, et posai une friandise dessus pour que le poulain s'en intéresse un peu plus. L'isabelle prit la friandise entre ses lèvres, et pinça en même temps le licol bleu taille poulain. Je le roulai en boule dans mes mains et me mis à caresser le poulain avec. Ainsi, il associait licol avec confort, c'était le début de tout. Petit à petit, je dépliais le licol, et le présentai devant son nez. Je le lui mis, et le fermai derrière ses oreilles. Je le récompensai en lui offrant du confort : je lui enlevai, pour le remettre un peu après. Petit à petit j'agrandissais les temps de « pose », jusqu'à ce qu'il le garde trois bonnes minutes. Je lui tendis une friandise, et lui enlevai le licol. C'était une chose faîte, il allait devoir apprendre à répondre à la longe maintenant, mais je ne voulais pas trop le gonfler avec ça. Je caressai sa petite bouille d'amour, et laissai mes doigts parcourir ses crins aussi soyeux que tu coton. Puis je quittai le box, contente de ma petite journée.

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premières brosses.

Qui disait vacance, disait aussi temps libre. Effectivement, nous étions dimanche, et puis hier, je venais au haras pour m'occuper de nouveau de mes chevaux. J'avais du temps devant moi, malgré les fêtes qui approchaient à grand pas ! Demain, c'était noël, et je voulais profiter au maximum de mes chevaux. Je me rendais justement en direction du box de Maniatico, mon espagnol dont je devais terminer le pré-débourrage. Il y a un mois, je lui avait appris à respecter le licol, ainsi que la marche à mes côtés. Aujourd'hui, c'était les brosses dont j'allai l'habituer. Je savais d'avance que tout allait bien se passer. Effectivement, ce poulain était un amour, un vrai. Il se laissait manipuler, toucher, sans résistance. J'avais donc trois brosses dans la main, que je posai au niveau de la porte de son box. De l'autre main, je tenais un petit licol en cuir, de taille poulain. J'ouvris la grande porte en bois, et me précipitai sur l'isabelle qui vint de suite me lécher les mains. C'était un amour, et malgré les rares visites que je lui offrai, il ne m'en voulait pas. Je caressai sa douce encolure. Je ne voulais pas le voir grandir trop vite, pas maintenant. Je lui passai le licol. Il lui allait parfaitement bien ! Maniatico était un magnifique poulain, et ce licol en cuir le sublimait parfaitement. Je le sortis de son box, et l'attachai à l'anneau d'attache du couloir. Ici, nous allions être tranquille. Enfin.

Je pris ces trois brosses, que je fis tout d'abord sentir. Maniatico s'en foutait royalement. Je pris le bouchon, et commençai à le faire glisser contre son poil. Le poulain eu quelques fois un petit mouvement de sursaut, mais rien de bien méchant. Je brossai doucement le ventre, les épaules et la croupe. Il était beau, et son poil était nettement plus beau ! Je pris les autres brosses, et fis la même chose sur son beau corps parfaitement sculpté. Enfin, nous avions terminé le pré-débourrage.

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confiance + 08 %
moral + 10
soin + 05

pré-débourrage
01 / 01 - confiance en l'homme
01 / 01 - licol
00 / 01 - longe
01.5 / 02 - brosses

+ 03 pommes

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fin du pré-débourrage.

J'étais venue ce matin au haras de pado, entre deux révisions de mathématiques dans le but premier de terminer le pré-débourrage de Maniatico, qui se révélait être un excellent poulain. Il fallait rapidement que je lui apprenne les bases du débourrage pour ensuite pouvoir le vendre. Effectivement, j'avais acheté ce poulain dans le but de le valoriser et de le vendre par la suite. Ce n'était pas cruel non, c'était les lois de l'élevage, même si elles étaient loin d'être faciles. J'avais acheté ce loulou onze pommes, j'allais minimum le vendre quinze. C'était un gain, en sachant que le loulou (selon son vendeur) avait de très bonnes aptitudes pour le futur en dressage, ou encore en attelage. Je me plantai devant le box du beau bébé, qui avait posé sa tête contre la porte en bois du box. Je lui caressai délicatement le museau et entrai dans son espace, le couvrant de bisous et de caresses. C'était un poulain attachant, je peinai à croire que dans quelques années, je ne serai plus son propriétaire. J'avais toujours eu du mal à vendre mes chevaux, c'était normal après tout. Je lui présentai le licol qu'il avait maintenant l'habitude de porter et le fermai derrière ses petites oreilles palomino. Qu'il était mignon et attachant !

Nous allions commencer le travail par l'étape du cure-pieds, seule brosse qui lui manquait. Je lui présentai le cure-pied et le laissai sous son nez, tendis que je laissai parcourir mes mains sur ses fines jambes déjà musclées. Je mis un peu de poids, et soulevai délicatement son membre, le reposant immédiatement pour le féliciter. Je le récompensai bien, puis fis la même chose sue tous les autres membres, demandant à chaque fois un peu plus de hauteur. J'avais rarement débourré un poulain pareil ! Puis je pris le cure pied, et passai délicatement contre sa sole, ne cherchant pas à enlever la terre mais à l'habituer. Je lui tendis une friandise et pris une longe que j'attachais à son licol. Je mis un peu de pression, pour l'inviter à me voir et lui tendis une friandise dès qu'il répondait correctement à ma demande. Nous fîmes ça plusieurs fois puis je quittai le box, contente.

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confiance + 05 %
moral & soins + 06

pré débourrage 05 / 05

+ 03 pommes

Invité

filet / tapis / selle

J'aimais le jeudi. Pourquoi ? Tout simplement car je terminais tôt dans l'après-midi, et que c'était pour moi l'occasion de me rendre au haras de pado. Effectivement, à part le mercredi et le week-end, je venais rarement voir toutes mes montures. Nos quater-vingts montures. On avait beaucoup de mal à lier boulot et chevaux, mais on s'organisait, Touch et moi.

EN COUUUUUUUUUUUUUURS