box de Joyeux

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JOYEUX
des Hartefacts

nom complet

des Hartefacts

âge

race

-

propriétaire : Arianna Klanai

robe : Alezan brûlé

sexe : Hongre

« Joyeux est le cheval de loisir par excellence. Adroit, calme et généreux, il fera tout pour plaire à son cavalier. Au box, c'est un cheval très gentil qui adore se faire brosser. En été, il aime aussi passer sous la douche et adore l'eau dans laquelle il n'hésite pas à tremper ses sabots. Mais monsieur Joyeux sait aussi sauter par dessus l'eau quand il le faut, notamment en cross où le petit étalon excelle. Ce cheval saura se sortir des situations les plus périlleuses et n'éjectera jamais son cavalier. L'hongre se débrouille en dressage où il connait la plupart des figures de basse école tel que le chassement des hanches, les cessions ou le changement de pied au galop. C'est un cheval qui cède facilement même s'il a tendance à s'ouvrir de temps en temps. Contrairement à ce qu'on pourrait croire en le voyant pour la première fois, Joyeux n'est pas fait pour le western. Ses précédents propriétaires l'ont une fois engagé dans une compétition de Barrel Race et l'ont regretté dès que le cheval est rentré en piste. Ils l'ont donc vendu au Haras qui en a fait un bon cheval, maniable et simple qui pourra convenir à la plupart des cavaliers désirant une bonne monture pour les concours. Vous voulez Joyeux ? N'hésitez pas, c'est un cheval qui saura vous montrer de quoi il est capable en toutes circonstances. »

sa fiche ♪

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Mercredi 23 novembre 2011
Aujourd’hui est un grand jour, je vais enfin savoir quel cheval je vais avoir en demi-pension. Je me dirige en courant vers les écuries, avec dans ma main droite, ma mallette de pansage contenant : une étrille, un bouchon, une brosse douce, un cure-pied, un peigne, une éponge, ma cravache, des guêtres et mon licol. Dans ma main gauche je tiens, ma bombe, une bombe noire avec un ruban derrière. Devant le seuil de l’écurie, je m’arrête net. Sur ma droite, je vois un cheval bai brulé qui semble sympathique. Je m’approche de lui et l’appelle. Il ne porte pas grandes attentions à moi, je continue donc ma route, m’arrêtant devant chaque box en pensant que se serait peut être ce cheval en demi-pension. Et puis, je le vois, le coup de cœur absolu ! Je me dirige vers son box et lis sur une plaque écrit en gras : « Joyeux ».

Soudain, un bruit de porte me fait sursauter, je me tourne brusquement et vois une dame qui me sourit et me demande :
«C’est toi la nouvelle ?
_ Euh…. Oui pourquoi ?
_ As-tu choisi ton cheval en demi-pension ?
_ Oui ! Puis-je prendre Joyeux ?
_ Bien sur ! C’est un très bon cheval, tu ne le regretteras pas ! »

Je pose mes affaires devant son box et fais connaissance avec Joyeux. Je le caresse, passe ma main du chanfrein aux naseaux et sens l’air chaud qui sort de ses narines me chatouiller les mains. Joyeux semble content d’avoir de la visite ! Je prends ma mallette dans une main et ouvre le loquet de la porte de son box pour le panser.

J’ouvre la mallette en sors une étrille. Je commence à l’étriller sur les parties non-charnues en faisant des mouvements circulaires. Qu’est-ce qu’il est sale, de la poussière remonte de ses poils. Joyeux a l’air d’apprécier, il ne bouge pas, un vrai ange ! Je range mon étrille, Joyeux tourne la tête et me regarde tendrement, je souris et prends mon bouchon bleu. Je commence par la tête, l’alezan ne bronche pas et se laisse faire, je fais attention à ne pas lui faire mal aux yeux. Ensuite je brosse son dos, ses membres, sa croupe, et brosse sa queue. Je sors le cure-pied, je lève son antérieur gauche et lui nettoie la sole, en faisant bien attention à ne pas lui faire mal à la fourchette, ainsi que les autres sabots. Je ferme ma mallette avec regret, sors du box, donne une dernière caresse à Joyeux et longe les box la tête baissée.

Soudain, je percute quel que chose, lève la tête et devant moi, le garçon d’écurie me demande :
« Comment t’appelles-tu ?
_ Moi ?
_ Oui
_ C…..C ……Clau……Claudette
_ Ah !!! C’est toi la nouvelle ! Ton père t’attend dans la voiture.
_ M …….m …….merci
_ De rien, à bientôt »
Je cours et à la sortie de l’écurie me vautre dans une flaque de boue, la journée avait pourtant bien commencée et voilà que je me ridiculise devant le garçon d’écurie, la poisse, en plus mon pantalon et ma veste bleus d’équitation son trempés et sales.

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confiance + 04 %
moral & soins + 05

+ 02 pommes

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J’ai hâte d’aller voir Joyeux mais en même temps je ne veux pas croisée le garçon d’écurie. En sortant de la voiture, je fais attention à ne pas me faire remarquer j’entre dans les écuries sur la pointe des pieds et la devant moi se trouve le garçon d’écurie, accompagner d’une fille d’a peut près mon âge, son visage me dit vaguement quelque chose, mais qui ? Mais ou ? Mais quand ? , autant de question se bouscule dans ma tête. Aussi bien que le garçon d’écurie m’appelle et que je ne l’entends pas.
« Claudette, Claudette houhou !! Tu vas bien ?
_ Euh……Oui
_ Tu ne t’es pas fais mal l’autre jour en tombant ?
_ Non ça va merci
_ Je te présente Nivresse, elle s’occupe d’Atlas.
_ Bonjour Nivresse.

J’avançais doucement, ouvrait le loquet. Je réfléchissais tout en caressant Joyeux, Nivresse cela me dit quelque chose. Joyeux posa sa tête sur mon épaule, je lui donnais une dernière caresse et posa ma mallette de pansage au sol. J’en sortis une étrille, répétais les mêmes gestes circulaires que la dernière fois et remarqua qu’il était moins sale. Ensuite, je repris le même bouchon, et eu le sentiment que Joyeux le reconnaissait, il se laissait toujours faire, a croire qu’il était en plastique. Je rangeais mon bouchon et voulu sortir mon cure-pied, mais a ce moment je me rendis compte que le cure pied n’était pas dans ma mallette, le stress m’envahit, comment faire, ça ce voyais bien que ses sabot n’était pas curés. Soudain j’entendis mon nom, je tournai la tête, et vit derrière moi le garçon d’écurie. Je devins rouge comme une tomate.
_ J’ai trouvé ce cure-pied, juste après ta chute, je suppose qu’il est à toi ?
_ Oui, comment as-tu deviné ?
_ Ben, il est bleu, comme ta tenue, ta mallette, ton bouchon, ton étrille et tes yeux.
_ Oui, j’adore le bleu c’est ma couleur préférée.
_ Comme moi, cela me rappelle mer, les yeux de ma mère, son collier, enfin c’est du passé.
_ Comment ça du passé ?
_ Bon je te laisse je dois y aller !!
_ ET MERCI POUR LE CURE PIED !!!!!!!!!!

Choquée par son attitude, je repensais a ce qui venait de ce passer, pourquoi était-il partit en courant ? Qu’avais-je dit de mal ? Je curais les sabots de Joyeux, le prit par la longe et ma dirigea vers le manège pour faire du dressage.

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confiance + 04 %
moral & soins + 05

+ 02 pommes

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Samedi 7 Avril.
Première approche.

- Enfin arrivée !

Je venais de parcourir à pied le chemin qui séparait ma maison du haras dans lequel je montrais à présent. Je me dirigeai vers l'accueil avec mes affaires à la main. Je passai ensuite de l'accueil à l'écurie. Je trouvai vite la sellerie où je trouverais l'équipement de mon cheval quand je le monterais. Aujourd'hui, j'allais seulement le voir pour faire connaissance et le brosser, pour une première approche je pense que cela suffira. Je trouvai vite le box de mon cheval. On m'avait mis en demi-pension un quarter horse se nommant Joyeux. Joyeux ! Voilà le mot que je venais de lire sur un box. Je relevai un peu la tête et je vis un magnifique cheval alezan brûlé. C'était un cheval extrêmement beau et qui avait au premier coup d'oeil un caractère très doux.

- Bonjour Joyeux, je suis ta nouvelle cavalière, Arianna.

Le bel hongre henni. Je lui montrai ma mallette de pansage et j'ouvris le box. Joyeux tapa au sol avec son antérieur droit. Je lui mis son licol et l'attachai à un barreau du box. J'ouvris ma mallette et pris l'étrille. Je passai cette dernière en mouvement circulaire sur la robe de Joyeux. Il avait l'air d'apprécier. Après avoir fait les deux côtés, je rangeai l'étrille et pris le bouchon. Joyeux n'était pas trop sale donc je lui passai un coup de bouchon sans trop insister. Une fois que j'en eu fini avec le bouchon, j'attrapai la brosse douce. Je brossai un peu partout et rangea. Je fis ensuite ses sabots. Je rangeai le tout et fermai ma mallette.

- Te voilà encore plus beau.

Joyeux henni de nouveau. Je pensai qu'il appréciait mon compliment. Je lui donnai une friandise qui se trouvait dans ma poche et lui enlevai son licol. Je mis mon front contre son chanfrein et je le caressai longuement. Ma mère venant le chercher, je n'avais plus beaucoup de temps. Après quelques minutes comme cela, Joyeux me sortit de mes pensées avec un petit coup de tête. Je me redressai.

- Au revoir mon beau, tu vas me manquer, mais je passerais tout les jours après les cours, promis.

Sur cet au revoir, je sorti et refermai le box. Joyeux henni une ultime fois et je parti après une dernière caresse.

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Hey, mais c'est du bon résumé ça ! Bonne continuation avec ton Joyeux, je prend plaisir à lire tes résumés.

confiance +4%
moral +3

+ 2 pommes

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Dimanche 8 Avril.
Avant notre première séance ensemble.

J'arrivai devant le box de Joyeux. J'étais essoufflée. J'avais essayé d'être le plus rapide possible pour pouvoir passer ma journée au haras avec Joyeux. J'avais pris ma mallette, ma selle, mon filet, mon tapis, mon amortisseur, mes guêtres, tout ce qu'il me fallait pour notre première séance ensemble. Joyeux étant mon cheval depuis hier seulement, je ne savais pas comment il était pendant les entraînements. Je lui fis un pansage rapide : je lui curai les sabots pour commencer, puis je lui passai un coup d'étrille, j'enchaînai avec le bouchon et pour finir je lui passai un coup de brosse douce.

- Encore quelques minutes et nous serons dans le manège, il n'y aura personne aussi tôt. Nous ne serons que tout les deux, rien que toi et moi.

Je pris mon tapis de selle, il était de couleur marron chocolat avec un liseré bleu ciel. Je le déposai sur le dos de Joyeux. Ensuite, je lui mis sur le dos mon amortisseur, marron avec un liseré bleu également. Vu que l'on était seulement au mois de mars et qu'il faisait froid le matin, je lui mis aussi mon couvre rein, de même couleur que le tapis et l'amortisseur. Je lui mis ensuite ma selle de loisir en cuir noir, puis je sanglai. Pour finir, je lui mis mon filet en cuir noir avec muserolle croisée, en espérant que cela lui conviendrai. J'emmenai dans le manège des guêtres, un stick, une longue longe, des rênes allemandes, un gogue et un tendeur. Je pensai ne rien avoir oublié alors je mis ma bombe et emmenai mon cheval vers le manège.

Suite...

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C'est bien poulette, continue comme ça !

confiance +4%
soins & moral +3

+ 2 pommes

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Dimanche 8 Avril.
Après notre première séance ensemble.

Après cette première séance d'entraînement, j'étais aussi épuisée que mon cheval. J'avais mis Joyeux au box le temps de ranger mes affaires. Je rentrai de nouveau dans le box et lui enlevai la longue longe et le filet. Je pris mon étrille que je lui passai longuement. Après, je passai soigneusement plusieurs fois le bouchon. C'est qu'il en avait attrapé de la poussière le coquin. Ensuite, il eut le droit à de long coup de brosse douce pour lustrer sa belle robe. Je lui curai ensuite les sabots. Ils n'étaient pas très sale, il y avait surtout du sable retenu par les fers. Une fois le pansage fini, je lui donnai une friandise, il allait grossir avec moi, le pauvre. Je lui fis un bisous sur le bout du nez et après une petite caresse je m'en allai.

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confiance +2%
moral & soins +1

+ 1 pomme

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Lundi 9 Avril.
Avant notre première balade.

J'entrai dans le box de mon cheval. Joyeux avait l'air content de me voir. Moi aussi j'étais contente, de le voir, mais aussi du programme de la journée. Je lui tapotai l'encolure et posai mes affaires devant le box.

- Coucou mon beau. Je sais qu'il est très tôt, mais l'on par deux heures en balade tous les deux ce matin.

J'ouvrai ma mallette. Je pris le licol et le mis à Joyeux, puis je l'attachai au box. J'attrapai mon étrille et me mis à panser l'hongre. Je pris ensuite le bouchon et pour finir la brosse douce. Je lui curai aussi les sabots. Je ne mis pas longtemps pour le panser, c'était plus pour vérifier qu'il n'avait rien. Je lui mis sur le dos mon tapis, mon amortisseur et ma selle. Je lui mis aussi mon collier de chasse. Je lui décrochai la longe du licol et lui mis mon filet en laissant le licol sur lui. J'attachai le collier de chasse à la selle et je sanglai. Après, j'attachai la sous-gorges et la muserolle. Je mis derrière ma selle une sacoche dans laquelle je mis la longe de Joyeux et deux bouteilles d'eau. Et pour finir, j'accrochai les rênes au filet sans oublier d'y passer les anneaux du collier de chasse. Je mis ma bombe et j'entraînai Joyeux à ma suite, jusque dans la carrière.

Suite...

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Lundi 9 Avril.
Avant notre première balade.

A notre retour, je mis Joyeux dans son box. Je lui enlevai la sacoche, la selle, le licol, l'amortisseur et le tapis. Je passai ma main sur ses membres pour voir s'il n'avait aucunes blessures. Vu qu'il n'en avait pas, je lui passai longuement l'étrille pour lui enlever la poussière qu'il avait pu attraper dans les bois. Je lui passai ensuite le bouchon pour bien faire partir toutes les poussières. Ensuite, je le brossai longtemps avec la brosse douce. Il avait l'air d'apprécier le pansage. Je pris mon cure-pied et lui nettoya les sabots. Il avait plein de cailloux et je pensai que ça devait lui faire du bien que je les lui enlève. Il eut ensuite le droit à quelques friandises et un bout de pain dur.

- Je ne vais surement pas revenir cette après-midi, j'ai plein de devoir. J'espère que la matinée t'a plu.

Sur ce, je le laissai se reposer, je repasserai demain après les cours.

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confiance +6%
soins & moral +5

+ 3 pommes

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Mardi 10 Avril.
Quelle surprise !

J'arrivai devant le box de Joyeux. Il était vide et son nom n'était plus noté sur la porte. Je me mis à stresser et je recherchai l'hongre dans les écuries, regardai dans chaque box s'il n'y était pas. Je le trouvai enfin dans l'écurie des propriétaires, un papier était accroché sur son box. Je m'en emparai et le lu :

"Ma puce,
avec ton père, nous tenons à t'offrir un cadeau pour pâque et quoi de mieux que se cheval auquel tu as l'air de t'en tenir et duquel tu nous parles tout le temps. Nous espérons que cela te fait plaisir.
Bisous, ta maman."

- Joyeux ! Tu es à moi ! Pour fêter cela, je te fais travailler en liberté.

J'étais tellement émue que j'en pleurai. Je pris le licol et entrai dans le box. Joyeux s'approcha et me poussa avec son bout du nez, comme pour me dire qu'il était content. Je lui donnai une friandise et il hennit. Je lui enfilai le licol et laisser la longe que l'encolure de l'hongre. Je commençai ensuite le pansage. Pour une fois, je débutai par les sabots, avec le cure-pied. J'enchaînai avec l'étrille, le bouchon et la brosse douce. Une fois le rapide pansage effectuer, je lui mis des guêtres, des cloches et des protèges boulet. Je l'emmenai ensuite dans le rond de longe. Je n'oubliai pas au passage mon stick que j'avais posé à la porte du box.

Suite...

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Quel beau cadeau !

confiance +4%
moral +3
soins +1

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Mercredi 11 Avril.
Avant la petite balade.

J'arrivai pour la seconde fois au haras. J'avais prévu de faire une petite balade avec Joyeux. Je rentrai dans le box sans mettre de licol à l'hongre, il était si sage que je n'avais pas besoin de l'attacher. J'ouvris ma mallette et pris l'étrille. Je passai l'étrille en vitesse plus pour enlever le poil d'hiver que la boue. Je passai ensuite le bouchon. J'en profitai pour regarder si il n'avait rien aux membres. Je pris ensuite la brosse douce et fini de brosser mon dadou. Je pris ensuite le cure-pied, le plus important pour avant une balade pour moi était qu'ils aient les sabots propre. Je rangeai ensuite le matériel de pansage. Je pris le tapis et l'amortisseur que je lui mis. Je lui mis ensuite la selle et le filet. J'y ajoutai des guêtres et des protèges boulet. Je mis ensuite une sacoche sur le dos de Joyeux que je coinçai sous la selle. Je mis dans la sacoche des crayons, un cahier, mon portable, une bouteille d'eau et pour finir une petite veste. Ensuite, je mis ma bombe et je sortis mon cheval dans la carrière.

Balade

Après la petite balade.

Je rentrai de ma balade, aux anges, j'étais ravie. Mes parents avaient eu une super idée en m'achetant Joyeux. Je le rentrais dans son box. Je lui enlevais mon filet, ma selle, mon amortisseur, mon tapis, mes guêtres et protèges boulets ainsi que la sacoche de randonnée. Je vidai la sacoche et ouvris ma mallette. Je lui passai l'étrille, le bouchon et la brosse douce, comme d'habitude et je lui curai les sabots. Je lui donnais ensuite quelque friandises et après un calin, un bisous et un au revoir, je parti.

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Riri !

confiance +3%
moral & soins +4

+ 2 pommes

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Samedi 14 Avril.
Avant l'effort, le réconfort.

J'arrivai tôt au haras en ce début de week-end. Je me dirigeai vers le box de Joyeux en premier, j'avais pour idée de lui faire faire du saut en liberté, pour qu'il apprécie un peu plus cette superbe discipline. Je ferrais ensuite du saut monté, demain, avec mon autre cheval, Dark.

Une fois devant le box, je rentrai dedans. Je caressais Joyeux et lui murmurai "Bonjour mon beau". J'ouvrai ensuite ma mallette et le panser. Comme d'habitude, je lui passai l'étrille, suivit du bouchon et enfin de la brosse douce. Je lui curai aussi les sabots. Je le donnai ensuite une friandise et lui mis son licol. Je pris après une grande longe et un stick et nous nous dirigeâmes vers le manège.

Manège

C'était du bon travail mon beau.

Je rentrai du manège avec Joyeux. Je lui enlevai immédiatement le licol. Il était plus heureux et surtout, plus beau sans. Je n'avais plus beaucoup de temps, je m'occuperai donc de Dark le lendemain. Je pensai Joyeux en vitesse, un petit coup d'étrille par-ci, de bouchon par-là et pour finir de brosse douce. Je m'occupai ensuite de lui curer les sabots. Je lui donnai quelques friandises et lui fit des caresses. Je partie ensuite pour ne pas que mon père s'impatiente de trop. Au passage, je n'oubliai pas de faire une petit caresse à Dark et de lui glissai une friandise dans son box.

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C'est que c'est tout beau tout ça !

confiance +5%
moral & soins +4

+ 2 pommes

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Mercredi 16 Mai 2012.
Comment me faire pardonné ?

J'arrivai à mon domaine. J'avais toute la soirée et elle était réservée, réservée à mon amour, à l'élu de mon coeur. Mon amour était un cheval. Mon DP, mon premier, celui avec qui tout a commencé.

Je me dirigeai vers son box. J'arrivai devant. Le bel alezan brûlé mangeait sa paille. J'entrai dans le box. Je m'en voulais. Je me laissai glisser le long d'un mur du box. Le beau cheval devait se demander se qui se passer. Il s'approcha de moi. J'avais les genoux replié contre moi et je les entourai de mes bras. Content de ma visite, surement, Joyeux me renifla les cheveux. Voyant que je ne réagissais pas, il me donna un petit coup sur le bras avec son bout du nez. Je souri. Je lui caressai le chanfrein. Le bal hongre hennit. Je me relevai tranquillement et je me mis à le caresser longuement.

- Je m'excuse mon beau. Je t'avais promis et je n'ai pas tenu ma promesse.

Le cheval n'avait pas l'air de me reprocher quoi que se soit. Je me sentais quand même coupable. Comme s'il entendait mes pensées, Joyeux tapa sur le sol avec son sabot. Je ris. Je me reculai et sorti du box. J'allais, pour me faire pardonner, lui faire un grand pansage. J'aurais voulu lui donner une petite douche, mais il ne faisait pas assez chaud.

Je pris l'étrille et commença à le panser. Je ne pris pas la peine de l'attacher, il était bien trop sage et ne bougeait pas. J'avais beau ne pas être venue depuis longtemps le voir, Joyeux était tout propre. J'avais engagé une personne qui pourrait s'en occuper quand j'étais pas là ou n'avais pas le temps. Je passai l'étrille en mouvement circulaire sur le beau dadou. Sa robe n'avait pas besoin d'un coup d'étrille, mais cela faisait durer le pansage plus longtemps. Je ne passai pas longtemps l'étrille et passai vite au bouchon. Je m'appliquai plus cette fois. Sa robe devait briller ! Je lui fis les membres, le dos, l'encolure. Ensuite, avec le peigne, je m'occupai de ses crins. Au final, plus un seul noeud. Je pris, pour finir avec les brosses, la brosse douce. Je lui enlevai tout les petites poussières qu'il lui restait. Il était tout propre. Je fini avec le cure-pied. Je voulu aussi lui graisser les sabots donc je parti chercher la graisse

Quand je revenu, le box était ouvert. Zut ! J'avais oublié de le fermer, aillant toujours l'habitude d'attacher les chevaux. Et avec la chance que j'avais, la porte de l'écurie était resté ouverte elle aussi. Je posai vite la graisse et pris le licol de Joyeux. Je me dépêchai de sortir. Je le vis en train de brouter. Ouf, il n'était pas aller bien loin. J'allai le chercher et lui mis son licol.

Nous rentrâmes au box. Je lui enlevai son licol que je mis à sa porte de box. Je lui graissai les sabots. Je le caressai ensuite très longuement. Au bout d'un bon quart d'heure, je le laissai tranquille. Je lui donnai une friandise et parti.

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confiance +7%
moral & soins +10

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♥

Joyeux. C'était un joli petit cheval qui avait besoin d'une sortie. Sa propriétaire étant absente, je m'étais proposé pour m'occuper de ses chevaux. J'entrais dans le box du petit hongre, et je lui tendis ma main et une friandise. Il était adorable, avec sa petite liste qui devenait rosé, et sa crinière hirsute, il me faisait penser à un cheval de clown que j'avais vu une fois au crique. Il mangea la friandise, et avait l'air content d'avoir de la visite. JE lui mis son licol, et je l'attachais à l’extérieur du box. Je décida de lui faire un petit pansage, puis de le mettre au pré. J'aimais bien brosser des chevaux, je faisais connaissance avec eux, et je pouvais passer un moment tranquille à leur côté. De plus Joyeux était tranquille, et semblait bien appréciait se moment qu'on passait ensemble. IL n'avait aucune blessure, et ses sabots étaient en bon état. Je lui fis un petit bisou sur le nez, nettoya ses naseaux et ses yeux, puis je l'emmena au pré.

De retour, je décida de lui doucher les membres car il aimait bien l'eau. Je l'attachais à la douche, puis j'allumais l'eau. J'approchais le tuyau de sa bouche, et il en buva, et essaya d'attraper le bout du tuyau jaune. Ensuite, je lui trempa les jambettes, et le passage de sangle. Je lui passa rapidement le couteau de chaleur au passage de sangle, puis je lui cura les sabots et je le remis au box. Je lui fis un gros bisou, puis je le laissa.

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confiance + 04 %
soin + 02
moral + 03

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Vendredi 20 juillet 2012.
Mon premier amour.

Mes dadous !! Je les laissaient un peu de côté en ce moment. J'étais arrivée tot ce matin car j'attendais l'arrivée d'Animax. Il arrivé en fin d'après-midi alors je décidais de panser Joyeux. Je pris donc ma mallette et me dirigeais vers son box.

Je posais ma mallette devant et entrais. Je ne l'attachai même plus. Il s'était habitué à moi et me faisait confiance maintenant. Je lui fis quelques caresses et prit l'étrille pour débuter le pansage. Je voulais un long pansage qui nous rapproche. Même s'il n'était pas sale, je lui passais longuement l'étrille sur le dos. A droite, puis à gauche. Il avait l'air d'aimer cela. Comme avant. J'avais l'impression que l'on soit de nouveau seul au monde. Rien que lui et moi. Tout les deux. Je sorti de ma transe et pris le bouchon. L'encolure, puis le dos. Les membres et l'arrière-mains. Tout de droite à gauche, des deux côtés. Joyeux hennissait à chaque fois que j'enlevai la brosse comme pour exprimer son mécontentement. Mon tout mignon ! ♥ Je pris, pour en finir avec les brosse, la brosse douce. Je lui passais d'abord sur la tête puis l'encolure. Je fis les épaule jusqu'au sabots. Le dos. Pour finir je fis l'arrière-main et les membres postérieurs. J’optais ensuite pour le peigne. Je démêlais la crinière, le toupet et les crins de la queue. Et pour vraiment finir ce pansage, je pris le cure-pied. Je fis chaque sabot un à un. Je n'oubliais pas d'ensuite passer la brosse à sabot.

Je lui fis quelques caresses et lui donnais une friandise. Un hennissement de sa part et un bisous de la mienne et je sorti du box pour aller manger.

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Confiance + 02
Moral et soin + 03

+ 1 pomme

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