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 Box d'Accroche

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MessageSujet: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeLun 22 Oct - 16:43

Accroche
Coeur


Box d'Accroche Accroc11

    nom complet : Accroche Coeur

    âge : 8 ans

    race : Tinker
-

propriétaire : Lyne Fayne
robe : Pie alezan

sexe : jument



« Ecoute, écoute, son pas lourd sur le sol, tu entends ses sabots retentir avec souplesse ? Ferme les yeux elle t'emmène. Accroche coeur porte bien son nom car elle fera chavirer les coeurs. Dotée d'une beauté incroyable au premier coup d'oeil on ne voudra plus s'en séparer. Accroche est la jument de loisir par excellence mais contrairement aux apparences il s'agit d'une excellente jument de sport ainsi que de compétition. Une discipline ? Le dressage avant tout. Elle est l'élément indispensable de toute bonne écurie de dressage. Prestance, classe, charme, élégance et souplesse les juges craqueront pour les divines allures d'Accroche Coeur. Il s'agit également d'une jument très affectueuse qui n'a pas finit de vous câliner. Elle n'a pas un caractère difficile, pour votre plus grand plaisir ! (: »


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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeMar 23 Oct - 20:04


    MON PLUS GRAND RÊVE ; juste sous mes yeux.


    - Lucile ? Lucile, tu dors ?

    Jusqu'à ce que ta voix viennent vriller dans mes tympans, oui Maman, je dormais. Éloignant mon éternelle mauvaise humeur matinale, je repoussai ma couette et m'extirpai de mon lit. J'attrapai un pull et l'enfilai. Au même moment, ma génitrice fit son entrée, un sourire étalé jusqu'aux oreilles. Elle me lança un sac à dos et me fis un clin d'oeil. J'avais plus qu'horreur de ce genre de sorties familiales. La dernière fois qu'elle m'avait apporté un sac à dos inconnu m'avait mené en haut du pic st loup pour une randonnée de près de 4 heures. Que me réservait-il aujourd'hui ? Lassée, je soupirai un bon coup, ayant d'abord vérifié que ma mère ne se tenait plus dans l'encadrement de la porte. Car malgré tout, malgré le fait que je m'ennuyai ferme dans la plupart de ses surprises, j'étais heureuse de voir qu'elle se donnait du mal pour m'extirper de mon lit. La fermeture du sac me résista quelques secondes avant de s'ouvrir en un ronronnement grincheux. Je glissai mais mains à l'intérieur et farfouillai à tâtons. Je palpai une dizaine d'enveloppes. Soudainement, la randonnée du Pic St loup fut oubliée, ma mauvaise humeur avec et un tout nouveau sentiment germa en moi ; la curiosité. Je sortis le tas d'enveloppes et les disposais sur mon lit. Il y en avait 8. Toutes de couleurs différentes, elles étaient chacune marquée par une lettre et un numéro. Logiquement, je choisis la numéro une, qui était également marquée d'un A. Délicatement, j'arrachai le peu de colle qui scellait l'enveloppe. Dedans, je trouvais deux brins d'herbe liés ensemble. Ils formaient le signe de l'infini. Le petit post-it collé à eux comportait un unique mot : "Toujours". Il me fallut quelques minutes pour capituler ... De l'herbe, ce "toujours" mystérieux ... Que cela signifiait-il ? J'ignorais si j'avais le droit ou non d'ouvrir la seconde enveloppe, même si cela m'étonnait. Ces deux indices devait me conduire à quelque chose ou quelqu'un qui me donnerait le droit d'ouvrir la deuxième enveloppe. En réfléchissant un peu, je trouvais peut être une piste. L'herbe venait certainement du jardin, pourquoi ne pas m'y rendre, peut être était-ce là bas que j'étais attendue ... Je dévalai quatre à quatre les escaliers et sortis à l'extérieure. En effet, le moteur de la voiture était allumé, et mes parents tout deux assis sur les siège de conducteur et passager. Je m'approchai. Ils me jetèrent un regard malicieux et mon père tendit la main vers l'arrière pour ouvrir ma portière. Je me glissai sur la banquette arrière et ouvrit la bouche :

    - Qu'est-ce-que c'est que ...

    Je n'eu pas le temps de finir, ma mère démarra. Les graviers crissèrent sous les roues et je n'eus d'autres choix que de me taire. Nous roulâmes une grosse demi heure avant que la jauge d'essence n'affiche rouge. Ignorant toujours la situation, j'en profitai pour réfléchir. Malheureusement, mise à part l'envie d'ouvrir les autres enveloppes, rien ne me venait. Ma mère inséra sa carte bleue dans la machine pour régler son plein quand celle ci se mit à biper. Ma mère, eu un air faussement surpris que je lui connaissais et héla un caissier. Celui-ci lui vint à la rescousse. Alors qu'ils se penchaient tous les deux sur les boutons un peu collants de la machine à essence, je les observai à travers la vitre. C'est à ce moment là que je remarquai que tracé en noir et en gras sur le t-shirt du caissier, je pouvais lire "2C". Instinctivement je plongeai mes mains dans le sac et en ressortit la deuxième enveloppe. Mon père me lança un regard amusé dans le rétroviseur avant de tapoter le dos de ma mère pour lui signaler que c'était bon, j'avais enfin remarqué. Je trouvais dans la deuxième enveloppe un petit shéma. Je trouvais le départ grâce à un D significatif. De mon doigt, je traçai le chemin. La première flèche menai à un petit regroupement de maisons dessinés au crayon à papier, en dessous était inscrit le mot de "Florence" certainement le nom du village. Mon père m'observai, à moitié retourné sur son siège. Je lui lançai un regard interrogateur auquel il répondit par un haussement d'épaules. Outrée, je soupirai et m'adossai à mon siège. Ma mère venait de rentrer dans la voiture, elle fit claquer sa porte, m'adressa un sourire et reprit la route.

    1 heure.
    2 heures.
    23 minutes.

    La voiture freine progressivement. Nous arrivions en agglomération, la limite de vitesse ne dépassait donc pas les 30 kilomètres/heures. Frottant mes yeux ensommeillés, je jetai un regard par la fenêtre. Tout était vert. Incroyablement vert. Mon père somnolait à l'avant, tandis que ma mère, une main sur sa vitre baissée, battait la mesure de la radio. Un petit panneau blanc entouré d'un trait rouge indiquai le nom du village. En fronçant les yeux, je reconnu le village que j'avais découvert dans l'enveloppe et déchiffrai les lettres noires du panneau, Florence. Un sourire éclaira mon visage, après 2h 23 de route, j'allais ouvrir la troisième enveloppe ! Je saisis le sac et commençai à y fouiller quand mon père referma son poing sur mon bras. Il fit non de la tête et me retira le sac. Eh oui, effectivement, je n'avais pas eu l'indice qui me permettait de savoir quelle enveloppe ouvrir. Quelques minutes plus tard, ma mère emprunta un petit chemin de terre. C'est mon père qui me désigna du doigt des symboles inscrits à a peinture sur un arbre. Je plissai les yeux et distinguai un 3 et un C. Je m'empressai d'attraper l'enveloppe et l'ouvris. Dedans, je trouvais un paquet de crins bicolores. Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Cette surprise avait rapport avec les chevaux ! Tout de suite, je commençais à poser des questions à mes parents qui m'ignorèrent avant de poser un doigt sur ma bouche, me signalant de me taire. La voiture continua minutieusement son chemin e long du sentier caillouteux. Puis ma mère freina, devant une grande bâtisse en pierre ; une écurie, à en juger l'odeur. Les battements de mon organe vital s'accélérèrent. J'étais un peu perdue. Pourquoi une écurie ? J'ouvris ma portière et sortis. Mon père attrapa quelque chose dans le sac et me rejoint. Il avait dans les mains un bandeau. Avec un sourire aux lèvres, il me murmura :

    - Je vais te bander les yeux.

    Sans me laisser le temps de rouspéter, il installa le bandeau sur mes yeux et je perdis toute vision. Le noir m'engloutit et je dus m'en remettre à la main rugueuse de mon père qui serrait fort la mienne. Nous marchâmes pendant quelques minutes avant qu'il ne m'arrête et me donne une enveloppe, la quatrième. Amusé, il m'enleva le bandeau et m'autorisa à lire. Je découvrai un petit mot, qui disait :

    " Bonjour Lucile, je suis ton plus grand rêve. Tu as enduré pas mal de soucis ces derniers temps, alors tes parents ont jugé normal de te faire souffler un peu. Je t'attends, et j'espère te rendre heureuse. N'oublie pas que la pente, aussi brute soit-elle, peut toujours être remontée. Avec moi, tu vaincras."

    Sans que je ne puisse la contrôler, une larme roula le long de ma joue. Alors j'allais avoir une jument. Et si j'écoutais mon coeur, elle serait pie, avec de longs crins et de l'amour à revendre. Émue, je jetai un regard à mes parents qui me désignèrent les halls peuplés de boxes. Je déambulai parmi les chevaux, choyant leurs naseaux veloutés. Mais rien. Pas de Tinker. Pas de jument. Presque que des selle français imposants. Presque que des bais et des alezans. Un vent d'amertume souffla sur mon coeur tandis que je découvrais une enveloppe installée sur le loquet du dernier boxe. Elle portait l'inscription "5O". Je l'ouvris, avec la peur de découvrir qu'en fait, ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. Dans cette enveloppe, je trouvais trois granulés. Après quelques minutes de réflexions, j'en déduis qu'il fallait que je trouve l'endroit où on rangeai la nourriture. Après une ultime caresse au cheval à qui appartenait le boxe sur le quel l'enveloppe avait été posée, je me remis en route. Je trouvais une pièce, immense, qui ressemblait bien au garde manger. J'y pénétrai et la balayai du regard. Les granulés toujours en main, je cherchais le sac qui leur correspondait. Une fois trouvé, j'y plongeai ma main, et comme je l'avais imaginé, j'y trouvai une enveloppe, marqué d'un 6 et d'un C. Je l'ouvris et trouvai dedans une clé, avec marqué "Dans le manège ...". Jamais je ne courus aussi vite que cette fois ci. C'est à ce moment là que je remarquai que mes parent avaient disparu. Je vadrouillai dans le Haras, recherchant le fameux manège. Au fond de la cour, je remarquai un grand bâtiment en pierre, et abrité, qui ressemblait à un manège. Je m'y rendis. Comme prévu, la porte était fermée. Je sortis la clé, et après maintes essais réussis à pousser la lourde porte de bois.



    Et là, mon coeur cessa de battre.
    Mes jambes flageolèrent.
    Ma tête me tourna.
    Et elle, me jeta un regard curieux.

    Elle était d'une beauté à couper le souffle. Si tôt que j'ai refermé la porte, elle partit dans un galop souple et cadencé et parcouru le manège, l'encolure arquée. Cherchait-elle à m'impressionner ? Ou simplement jouait-elle parfaitement son rôle de cadeau inespéré ? Je me perchai sur les gradins, ne pouvant détacher mon regard de la jument qui évoluait, seule dans la carrière. Après un bon petit galop désuni, elle repassa au trot en gonflant les naseaux. Sa robe luisait sous les phares blafards du manège. Elle se stoppa au milieu et ronfla comiquement. C'est à ce moment là que je remarquai que mes parents étaient là. Mon père passa par dessus les gradins, un licol à la main. Il s'approcha d'elle, et lui enfila avec une douceur infinie. Mon coeur se serra. Jamais je n'avais vu mon père si patient auprès d'un cheval. Ma mère s'approcha de moi et me remis la dernière enveloppe. Elle n'était pas marquée, juste ornée d'un coeur rouge. Je l'ouvris délicatement et en défis les papiers qui se trouvaient à l'intérieur.

    " Accroche Coeur. Tinker. Par Palme d'Argent et Hulky du Vert. 8 ans. Pie alezane.
    Propriétaire actuel : Lucile B**** "


    Je frémis. Soudain, j'eus froid. Très froid. Je franchis à mon tour la barrière des gradins et sautai au sol. Mes ballerines s’enfoncèrent dans le sable meuble, mais je m'en foutais. Un nouveau frisson glacial me parcouru, mais je m'en foutais. Mon mascara avait inondé mes paupières à cause de mes larmes, mais je m'en foutais. J'étais fringué comme une plouc, mais je m'en foutais. Mon père me tendis la longe. J'avais peut être l'air niaise, à la tenir du bout des doigts, comme si je n'y croyais pas vraiment, mais je m'en foutais. Lentement, je posai ma main sur son encolure. Elle frémit à son tour. Le coin de mes lèvres se redressa pour illuminer mon visage en un sourire sincère. Délicatement, je l'emmenai avec moi vers la sortie.

    Elle avait réussi par sa beauté,
    Elle avait réussi par sa prestance,
    Elle avait réussi par son innacessibilité,
    Elle avait réussi par sa simplicité,

    Elle avait chopé mon coeur et le maintenait tout près du sien comme on attrape un coussin que l'on plaque tout contre sois. Elle m'avait séduite. Elle m'avait conquise. Et je n'avais su résister.






Dernière édition par Sanka le Sam 3 Nov - 18:16, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeSam 3 Nov - 18:13

UP ! What a Face
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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeSam 3 Nov - 20:50


" Très , très beau résumer , j'adore te lire ! ".
Confiance :+10
Soins & moral :11
Pommes :+5
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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeDim 4 Nov - 17:29


    MON PLUS GRAND RÊVE ; juste sous mes yeux.




    Cela faisait quelques jours qu'Accroche était arrivée dans les écuries. Suivant ma façon de pensée, je lui avais donc laissé quatre journées et quatre nuits pour s'acclimater avant de commencer notre histoire. C'était donc impatiente que je me pointais au Haras en ce dimanche ensoleillé mais frais. Ma mère arrêta la Clio devant les hall des propriétaires avant de descendre. Ensemble, nous prîmes toutes mes affaires et les mîmes à l'intérieur du bâtiment. Elle m'embrassa le front et me rappela de lui passer un coup de fil une fois que j'aurais terminé. J'hochai la tête avant de déplacer toutes mes affaires vers le deuxième boxe de la rangée de gauche, celui de ma jument. A côté d'elle, on avait installé un hongre alezan, avec une grand liste, dont je su le nom grâce à la petite plaque de boxe clouée sur sa porte. Je saluai le mâle d'une caresse avant de me consacrer pleinement à ma jument. Celle ci avait sorti la tête, curieuse, et guettai une caresse ou la moindre attention de ma part. Amusée, je la laissai renifler la paume de mes mains avant de déposer un baiser sucré sur son toupet couleur blanc écru. Je fis glisser le loquet de son boxe et pénétrai à ses côtés. Elle s'occupa tout de suite de mes poches, en grande gourmande. Je la poussai délicatement en riant. Aujourd'hui, j'avais prévu de la lâcher dans le rond de longe, pour voir ses allures, et commencer à la connaitre un peu mieux.

    - Allez princesse, laisse moi passer.

    Je joignis ma parole à un baiser volé sur sa ganache et sortit du boxe. J'attrapai son licol de cuir tout neuf que j'avais graissé quelques jours avant et rentrai à nouveau dans le boxe. Je lui enfilai sans attendre et constatai qu'il retombait parfaitement sur les courbes de sa tête fuselée. J'écartai d'un main la porte et de l'autre incitai la jument à sortir, ce qu'elle fit sans patienter. Je nouai la longe dans l'anneau, comme à mon habitude. Je saisis pour commencer mon étrille américaine. En effet, durant ses quatre jours, la Tinker avait passé ses après midi au paddock à faire bronzette avec ses copains, et le résultat était bien là, son moral était au plus haut, mais en ce qui concernait la couleur de sa robe ... C'était autre chose. Je commençai par son ventre, et à l'aide de petits cercles, je décollai la plus grande partie de la boue qui s'était collée à son poil. Ses poils blancs retrouvèrent leur impartialité tandis que son poil alezan récupéra ses reflets cuivrés. Je troquai ensuite ma brosse pas très agréable contre mon bouchon et m'attaquai à ses membres. Qui disait Tinker, disait fanions abondants, disait saleté et boule de mauvaises herbes emmêlés dedans ! Je commençai par enlever avec les doigts les piquants des plantes qui s'étaient fixés au longs poils du paturon avant de donner un bon coup de bouchon et de remonter jusqu'à l'épaule. Je saisis ensuite ma brosse douce que je passai partout sans exceptions, même sur sa crinière. Elle retrouva son volume. Je donnai un rapide coup à sa queue.

    J'attrapai pour finir une paire de protections que je lui enfilai. Je les avais acheté la semaine passée, à Padd. Elles étaient rembourrées en mouton, lui offrant un confort inégalable. Je posai également les protèges boulets, préférant une protection maximale. Je détachai ensuite la longe et l'emmenai vers le rond.

    ROND DE LONGE.

    De retour du rond, je renouai la longe et attachai ma jument. Puis je lui retirai les guêtres que je rangeai après les avoir secouées. Je fermai mon sac. Je lui passais un léger coup de bouchon avant de lui offrir le loisir de rentrer au boxe. Je lui versai sa ration sans plus attendre. Déposant un bisou sur son toupet, je tournais les talons.



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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeLun 5 Nov - 17:16

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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeMer 16 Jan - 16:34

Découverte

Lyne venait d’acheter une nouvelle jument ! Elle ne l’avait pas vraiment programmée mais quand elle avait décidé de faire un tour aux ventes aux enchères….elle avait craqué sur cette jument Accroche Cœur…et elle portait très bien son nom. La jument était arrivée dans ses écuries depuis quelques jours mais la jeune fille n’avait pas encore eu le temps de lui rendre visite, chose qui allait être corrigée, et pas plus tard que maintenant.
Ses 2 étalons, crunchy et Qadoum étaient situés à l’entrée de l’écurie tandis que chaston et accroche était au fond. Dès son arrivée, les 4 équidés sortirent leur tête et ils eurent tous le droit à une caresse mais elle se dépêcha d’aller dans le dernier box. La jument avait passé sa tête par-dessus la porte du box, curieuse et contente de recevoir les caresses de cette inconnue.

« Allez ma belle, on va te faire une petite toilette »

Elle s’en alla chercher brosses et licol dans la sellerie et revint vers la jument qui n’avait pas bougé, fixant la cavalière. Elle ne posa aucun souci pour mettre le licol ni pour sortir, on ne la sentait pas nerveuse du tout malgré le changement de situation. Lyne s’attela d’abord à passer l’étrille pour enlever la première couche de poussière et de crasse accumulée, puis le bouchon. Très tranquille, la jument se laissait faire sans difficulté.
Ensuite le cure-pied qui ne posa aucun souci également mais la jument aurait sérieusement besoin du maréchal, il faudra penser à l’appeler dans la journée. Elle démêla ensuite les crins et les fanons de la jument ce qui lui prit un temps fou ! Quelle idée d’avoir une jument avec autant de crins ! Mais en s’éloignant de quelques pas, lyne pouvait etre fière du résultat, la jument était resplendissante, bien que manquant un peu de muscle par manque de travail, son poil était brillant, elle respirait la bonne santé.

Après une dernière caresse et une carotte, lyne ramena la jument à son box et rangea ses affaires
.
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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitimeVen 18 Jan - 17:51

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MessageSujet: Re: Box d'Accroche   Box d'Accroche Icon_minitime

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