Box de Cola Cao

« Il faut oser, se bouger, risquer. »
→ Découverte, samedi trois.



La voiture ne roulait pas vite, et je regardai péniblement ma montre toutes les cinq minutes. Ma mère posa une main sur ma cuisse pour me rassurer, me décochant un sourire forcé. Elle était bien trop gentille, ma mère. Elle avait bien voulu m'avancer l'argent pour que je m'achète mon onzième cheval. Onze chevaux, oui, j'allais avoir onze chevaux. Encore fallait-il que j'ai un énorme coup de coeur pour la jument que j'allais voir aujourd'hui. J'avais craqué sur sa photo, une photo de compétition. Je n'arrivai pas à situer la hauteur des obstacles, mais je voyais bien que c'était une championne ! La voiture s'arrêta, j'ouvris les yeux. Je détachai ma ceinture de sécurité et ouvris la portière de ma voiture. Je posai mes pieds sur la sable, et plissai les yeux pour visualiser ce que le soleil me caché.

J'étais maintenant dans le couloir de l'écurie de la jument. J'avançai timidement, suivant l'homme qui me présentait les lieux. Il s'arrêta devant un box fermé, et m'indiquai que la jument était derrière ses deux portes en bois. Je pris ma respiration, et ouvris la porte du haut. La jument était au fond, et baissa les oreilles en me voyant. J'ouvris celle du bas, et attendait patiemment qu'elle vienne me voir. Mais la belle n'en était pas décidé ainsi. Je me retournai vers la porte, et lus "Cola-Cao, jument arabe". Je souriais. Je connaissais cette jument, c'était la mère de ma Nangaye, pouliche qui me donnait du fil à retordre. La petite avait le caractère de sa mère, ça se sentait. Je m'approchai d'elle doucement pour ne pas qu'elle me prenne pour un prédateur. Cola baissa les oreilles, me menacent. Elle me faisait penser à Caliméro, mon autre cheval. Je haussai les épaules, et caressai son encolure. Elle ouvrit la bouche, et s'approcha de ma main. J'ignorai sa demande, jusqu'à ce qu'elle se calme.

- Mais tu es à moitié sauvage toi.

Je me retournai, et pris le licol qui se trouvait par terre. L'alezane en profita pour me mordre les fesses. Je me redressai, massant mon postérieur en grimaçant. Son propriétaire rigola, ne pouvant s'empêcher de partir en fou-rire. Je me retournai, et passai le licol sur la fine tête de l'arabe. Je la sortis de son box, et l'examiné maintenant à la lumière du jour, et non à la pénombre. J'attachai la longe, et caressai le dos puissant de la bête. Je ne savais que faire... la voir rejoindre mon écurie, ou refuser l'offre à cause de son caractère pourri. Je me retournai vers le propriétaire, pensive. Je lui tendis ma main, et serra la sienne, contente de mon achat.

« Cause tonight I'm feeling like an astronaut. »
→ Soins, lundi 26.



Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas travaillé Cola-Cao, la pur-sang arabe qui m'avait récemment offert un poulain. C'était une bonne poulinière. Attentive, sûre d'elle même, protectrice... J'étais contente de la progéniture qu'elle venait de m'offrir. Il était maintenant temps de la remettre au travail, de la sortir un peu de son box. J'optai pour une courte séance au rond de longe, histoire de la remettre un peu dans le bain. Cette jument manquait sérieusement de confiance envers l'humain. Il fallait déjà qu'elle se fasse confiance, à elle même... Je poussai la porte du box, faisant face au monstre de musculature. Elle avait prit pas mal de poids, mais était toujours aussi belle, aussi gracieuse. Je la saluai, manquant de me recevoir une morsure. Je grognai, tel un chien enragé. Je me calmai, trouvant ma réaction pire qu'idiote. Je tendis calmement ma main vers la jument, et lui passai mon licol plat. Il était bordeaux et gris, un de mes licols préférés. J'en avais une centaines... J'adorais collectionner tout un tas de matériel, et de changer quand je le voulais ! Je la sortie de son box, et attachai la longe à un des anneaux du box. La jument trépignait d'impatiente, elle voulait enfin sortir de son minable box. Je souris, sortant de mon sac à brosses un bouchon. J'allais faire un court pansage ; histoire d'enlever juste le poil d'hiver qui tombait par poignée.

» Je ferai bien de passer l'aspirateur moi, avec tout vos poils !

Je souris, terminant rapidement de passer la brosse sur sa robe d'un alezan profond. Je me dirigeai vers ma sellerie, et pris un licol corde de couleur noir. Je l'ajusté correctement, et repris la direction de Cola-Cao, qui m'attendait bien sagement. Je détachai le licol plat et le remplaçai par celui que je tenais dans la main : nous allions bientôt prendre la direction du rond de longe. J'étais pressée de pouvoir la travailler enfin, après tant de temps ! Je détachai sa longe, et exerçai une pression dessus pour l'emmener brouter quelques tiges d'herbes avant de travailler. Je voulais bosser pas mal, en sachant qu'elle n'avait pas travaillé depuis bien longtemps ! Je la caressai, et lui relevai la tête, raclant des pieds.



( rond de longe )

Après mettre occuper de Cachemire, avoir monter Storm et Malice, je me rendais dans le domaine d'Axelle une bonne amie que je mettais faite ici. Dans la semaine, lundi il me semble, je l'avait vut longer une jument qui m'avait éblouit et je me rendait dans son immense domaine aujourd'hui pour voir la beauté alezane et m'en occuper un peu. Axelle m'avait prévenu, un peu insociable et peu cooperative parfois malicieuse, je savais parfaitement a quoi m'attendre. Un peu fatigué de ma journée, je lui avait prévut un bon pansage et une petite récompense en prime. Je pénétrai dans les écuries de mon amie et je croisa bon nombre de chevaux, tous plus beaux les uns que les autres. J'observa et longea chaque box quand sur une porte, la plaque gravé au nom de Cola Cao m'annonca l'arrivé au box de la jument. Je passa la tête par dessus le box et aperçut blottit au fond, l'alezane crin lavé que j'avait vut l'autre fois. J'observa la belle, elle était musclé et bien proportionée, c'était une pur sang arabe puissante et sublime. Son regard brun, ses yeux était méfiant et sans doute asser terrifié d'une nouvelle venue. Elle me reservait surement un accueil peu chaleureux et sans doute asser secouant mais je m'attendais a tout avec la rousse. J'appela d'une voix melodieuse Cola qui vint me voir. Les oreilles plaquées en arrière et les yeux tegneux, c'est dans cette attitude quelle s'approcha de moi. Peu accueillante, elle tenta de me mordre mais je la réprima d'une tape sur le nez et elle cessa d'être agressive. Son corps était gracieux, sa tête finement dessiner et elle était très belle et ce qui me plaisait c'était son petit carafon, toujours mécontente, une déesse du saut, une diva du dressage et une jument qui s'avait ce quelle valait. Une jument qui se doutait de sa beauté et qui exigeait qu'on soit precit avec elle, qu'on soit attentionée. C'était une perle rare, une étoile dans le monde et il fallait y faire attention. Axelle était surement parfaite dans ce role et être sa propriétaire ne devait pas être facile tout les jours. Il fallait un certain crans, du culot, un peu d'audace et de la motivation.

J'ouvrit le loquet et entra dans le box, je m'approcha de Cola et la laissa me renifler, elle me montra sa croupe et tapa du pied, je la réprima d'un "NON" qui la calma de suite. Je prit l'étrille et commenca a décrasser la rousse, quelques 10 minutes plus tard, le dernier poil d'hiver qui restait a la jument tronait dans le box. Je passa le bouchon sur la louloute qui une fois coucha les oreilles mais ne tenta rien. Je resta tout de même consciente quelle pouvait être lunatique et je restait méfiante. Je finit le pansage de la jument a la brosse douce, elle était belle et elle était brillante. J'allait lui curé les sabots lorsqu'elle se mit a tourner en rond dans son box, je la freina en la repoussant au poitrail et lui demanda son pied. Elle leva la patte puis je lui cura. Sur deux des quatres sabots, elle chercha a enlever sa patte de mon emprise sans résultats. Je démêla les crins de l'alezane et cela fait, je lui offrit une friandise pomme banane. Je caressa la jument a l'encolure et je sortit du box, le refermant derrière moi. Je la regarda une dernière fois avant de quitter le domaine d'Axelle.

• Tu sais très bien de ce que je pense sur ce résumé ? Hein que tu le sais ?
  
  confiance +6%
  moral & soins +4
  
  + 3 pommes

« So come on, spin me around. »
→ Préparation vendredi treize.



Cela faisait quelques temps que je ne m'étais pas occupée de Cola-Cao, la jument folle, excitée, la championne de saut d'obstacle. J'avais prévu de la monter pour la première fois aujourd'hui, de me faire plaisir, et en plus avec une amie. C'était donc avec le sourire que je me dirigeai vers mon domaine, vers les écuries extérieur. Il ne faisait pas beau, aujourd'hui. Mais j'étais contrainte à me mouiller quelque temps, avant d'entrer dans le box de la concernée. Je courus en sa direction, le plus vite possible, voulant éviter de trop me mouiller. Je poussai le loquet du box, Je passai une petite et entrai dedans discrètement, évitant de peu un coup de sabot. J'avais en effet complètement oublié la mauvaise humeur de cette jument. Je poussai sa croupe, et lui passai un licol pour éviter qu'elle ne bouge. J'attachai la longe à l'anneau situé au fond du box, vérifiant qu'il tenait bien. Je passai une petite caresse sur son encolure, esquivant cette fois ci un coup de dents. Décidément, cette jument n'était pas prête à changer ! Je me dirigeai maintenant vers la sellerie, prenant deux trois brosses pour débuter le pansage de la journée. Je voulais faire court, tout en nettoyant le plus gros de la saleté. Je revins vers la jument, mais cette fois ci, ne me pris aucuns coups.

» Au pansage, tête de mule !

Je passai la première brosses sur les parties charnues, c'était une brosse américaine. Elle me permettait d'enlever le plus gros de saleté, comme les gros tas de boues. Je souris, même si ce n'était pas une partie de plaisir d'être avec elle au box. Il fallait toujours qu'il se passe quelque chose, comme un coup de dent, ou un coup de pied. Elle était vraiment insupportable, mais je ne comptais pas la changer pour autant. Je changeai de brosse, prenant une autre plus adaptée à la poussière : le bouchon. J'étais légèrement pressée, je voulais passer pas mal de temps en selle, et un peu moins au box pour une fois. Je fis les deux côtés de son corps, et terminai par lui demander les pieds. Cola-Cao n'avait pas l'air décidée de me les donner. Je poussai ses hanches, captant son attention. Il nous fallait encore plusieurs séances à pieds pour instaurer ça, décidément. Je réussis finalement à curer ses deux antérieurs, et la laissai glandouiller un peu, le temps que je me dirige vers la sellerie en courant pour éviter les pluies trop fréquentes.

Une fois dans la sellerie, je dus choisir mon matériel. J'hésitai longuement, et portai mon choix sur un ensemble rouge cerise pour cette séance de saut d'obstacle. Je posai le tapis et l'amortisseur sur mon bras, ainsi que ma selle. J’agrippai de ma main restante le filet, et le posai sur mon épaule, en direction du box de la belle. Je poussai la porte du pied, et me positionnai aux côtés de Cola. Je mis le tapis rouge sur son dos, ainsi que l'amortisseur qui allait le protéger. Je remis une fois de plus la selle, qui était plus lourde que tout équipement. Il ne me restait plus qu'à détacher le licol plat qui entourait sa tête, et lui enfilai le filet. Je passai maintenant les rênes par dessus les oreilles de ma jument, et la sortis de son paddock. J'hésitai longuement, entre la monter maintenant ou attendre d'atteindre le manège à pieds. Je choisis de monter un peu plus tard, et de me diriger en direction du lieu de travail à côté de son épaule.



( manège )


C'était plutôt une bonne séance qui s'était passée. C'était la première fois que je l'avais monté, et la séance avait été bonne, malgré ses coups de folies et surtout son coup de saut. Je descendis devant son box, nous voulant pas trop mouiller mes bottes. Je repassai les rênes par dessus ses oreilles, et la mis dans son box, face à la porte. J'ôtai son filet dans coup de main, et lui passai le licol plat que j'avais utilisé tout à l'heure. J'accrochai de nouveau la longe à un des anneau d'attache, et patiente, attendant qu'elle se calme pour pouvoir ôter la selle. Une fois calmée, je détachai la sangle, et la laissai traîner sur la paille fraîche. J'enlevai la selle, la posant contre le mur de son box.

» C'était une bonne séance, ma belle.

• Confiance +5
  Moral & soins +6
  
  + 3 pommes

Je passait faire un petit coucou a Cola dans le domaine de mon amie Axelle, je n'avait pas de temps a lui accorder aujourd'hui mais je souhaiter lui rendre une rapide petite visite. Je longea les box et me tourna ers celui de la belle alezane, je m'approcha de la porte de son box, dans une attitude similaire a celle de la dernière fois, elle s'approcha de moi. Les oreilles plaquées en arrières, je manqua de peu un coup de dents. Je caressa tout de même l'encolure fort musclée de la louloute, elle ne tenta pas de me mordre, elle me laissa sagement admirée sa robe brillante. Je lui fit une dernière caresse avant de quitter les écuries. Son regard me suivit jusqu'a ce que je passe la porte. ♥

• Confiance + 2
  Moral + 2
  
  + 1 pomme

« Rencontre »



J'arrivai au domaine d'Ecaussines, appartenant à mon amie Axelle. Comme elle devait s'absenter, elle m'avait demander si je pouvais m'occuper de quelques uns de ses chevaux si j'avais le temps. Elle ne m'avais pas spécifié lesquels, mais je savais qu'elle me faisait confiance donc, que j'aurai certainement le droit pour tous. Cela dit, je savais qu'elle voulait débourrer elle même ses poulains, afin de développer un lien unique avec chacun d'eux, donc j'avais décidé de ne pas toucher aux poulains. Je ne m'occuperai que des chevaux dont j'aurai le temps de m'occuper. J'avais un rendez vous dans un heure avec mon amie Camcam pour une séance de saut. Je décidai de prendre Cola Cao, une superbe jument alezane au sacré caractère mais aux capacités en saut énormes.
Je cherchai le box de la belle dans l'écurie d'Axelle, que je ne connaissais pas très bien, n'y étant venu que deux fois : une fois pour voir Indian et une fois pour m'occuper d'Illusion pour notre balade attelée avec Axelle. Ah, enfin ! Une plaque sur une porte indiquait Cola Cao. Je regardais par dessus la porte. L'alezane pointa ses oreilles en avant mais elle releva la tête très haut, avec un air fier. Du genre "Ici c'est mon domaine, j'accepte ta présence mais ne t'avises pas de rentrer".
Déjà caractérielle dans son comportement ! Cette jument me plaisait déjà. J'allai à la sellerie. Je pris du matériel de pansage et le matériel de la jument alezane. Je retournai à son box. Je rentrai dans le box, ignorant l'avertissement qu'elle m'avait lancé quelques minutes plus tôt. Elle me sentit, je la laissai faire. Par contre, elle tenta de me mordre et là, je lui assénai une petite tape sur le nez. Inutile de la laisser prendre le dessus avec moi. Elle me devait le respect et je le lui devais également. J'entrepris de faire son pansage. Je l'étrillai, je la bouchonnai et je lui passai la brosse douce. Je ne lui laissai pas le temps de prendre les brosses, je les mettait hors du box dès que j'avais fini. Je démêlai sa crinière et sa queue, en faisant attention à ses sabots.

"Tout doux, ma belle, tout doux. On va bien s'entendre toi et moi." lui dis-je.

Je lui nettoyais les yeux et les naseaux avec une éponge, ce qui ne fut pas une mince affaire car elle tentai toujours de m'échapper de n'importe quelle manière. Elle levait la tête, elle tournait dans le box... Je lui curai les pieds avec énormément de mal. Ensuite, je lui mis ses guêtres, ses cloches et ses protèges-boulets. Non sans mal, là aussi. Ensuite, je lui mis le filet. Elle prit le mors presque de suite puis elle attendit que j'ai fini de lui mettre le filet. Je bouclai la sous-gorge et la muserolle. Je posai tapis, amortisseur et selle sur son dos puis je fixai le collier de chasse et la martingale de la jument avant de dégarrotter et de sangler. J'attrapai ensuite ma bombe et mes gants et je conduisis la jument à la carrière pour une séance de saut avec mon amie Camcam et Oeuvre, un étalon appartenant à mon amie Seychelles.



_________Carrière : séance de saut avec Oeuvre et camcam38________


Après une bonne séance de saut, je rentrai la jument au box. Elle transpirait beaucoup. On se demandait pourquoi. Mes muscles ne me faisaient pas encore mal mais je savais que j'aurai mal une fois qu'ils auraient refroidis. J'adorai Cola Cao. Elle avait un caractère difficile, ce qui me plaisait énormément. Elle en était même dangereuse par moment. J'admirai la belle. Je crois que ma combativité et le fait que je n'abandonnai pas lui plaisait. Je remontai les étriers et je dessanglai. J'enlevai le collier de chasse puis, je lui enlevai la selle, l'amortisseur et le tapis. Puis je lui enlevai le filet. Je l'étrillai, je la bouchonnai et je lui passai la brosse douce, après lui avoir enlevé les protections. Je démêlai sa crinière et sa queue puis je lui nettoyais les yeux et les naseaux avec l'éponge. Je terminai par curer les pieds de la jument puis je lui donnai une carotte et une pomme. Je la caressai longuement en lui parlant. Je finis par la laisser tranquille, refermant la porte du box derrière moi. Je ramenai le matériel à la sellerie et je le rangeai exactement là où je l'avais trouvé.

« Cola and Me ♥»
→ Soins, dimanche 19



Je venais en cette soirée de mai rendre visite a la plus belle création de ce monde, la belle alezane du nom de Cola Cao. Je marchais, sous les étoiles, bordé par le vent frai. Je n'avais qu'une hâte, la retrouver. J'accélérais le pas et pénétrais le domaine de mon amie. Peu à peu, j'arrivais prêt du box de ma belle, je regardait par dessus la porte, elle se tenait prêt de son abreuvoir. Je tendit la main vers elle et manqua de me faire mordre. Ah oui, son caractère de cochon que j'aime tant ! C'est donc plus prudemment que je caressa sa sublime encolure musclée. L'alezane semblait mourir d'envie de sortir, je me munit d'un licol et entra dans le box, je lui enfila sans crainte de morsure et la fit sortir de son box. J'attacha la jument a un anneau situé à proximité de son nid douillet. J'alla prendre ma caisse de pansage et en sortie mon étrille en caoutchouc. J'étrilla en cercle la jument, sur les parties charnues pour éviter toutes blessures ou malaises, Cola qui d'habitude était particulièrement agressive a ce moment, semblait détendue et sereine. Je la caressa et continua son pansage avec le passage d'une brosse plus dure. Je bouchonna énergiquement ma Loute' qui apprécia légèrement le côté gratouille. J'en ris et continua à lustrer sa robe brûlé.

>> Alors ma Belle, ça te plait ?

Elle ne broncha pas non plus quand je démêla ses crins et quand je lui cura les quatre sabots. Je la laissa seule quelques minutes et revint un pot de graisse et un pinceau a la main, je lui demanda son sabot et trempa le pinceau dans la graisse. Enduit d'onguent, je l'appliqua sur tout le sabot. Je répéta l'opération pour les quatre sabots. Une fois les pieds graisser, j'égalisa sa crinière, son toupet et sa queue. Cola avait fier allure toute pansé. Je lui offrit une friandise avant de la câliner un peu, je m'occuper de la plus belle jument qui existe et ça, ce n'était pas négligeable ! Je détacha la longe et la laissa renifler les 27 autres chevaux de l'écurie avant de la rentrer dans son box. J'ôta son licol et embrassa ses naseaux avant de quitter le domaine.

« Cola and Me ♥»
→ Soins, découverte a la monte dimanche 20



Je me rendais au domaine d'Axelle pour voir Cola Cao, ma demi-pension chérie. J'arrivait a peine au haras que je me dirigeait vers elle, c'était une journée orageuse malgré ma bonne humeur. Le temps ne cessait de changer, quelques rayons de soleil succéder par quelques gouttes de pluie et ainsi de suite. Je n'en était pas moins heureuse car aujourd'hui, pour la première fois, j'allais monté Ma Cola. Je comptais la découvrir, faire 30 minutes de "petit" dressage et 30 minutes de saut. Une séance mixte pour connaître la jument sous plusieurs angles. J'arrivais vers son box, elle semblait venir de terminer son foin et ses granulés, je caressa sagement son chanfrein en prenant garde tout de même de ses dents, un peu agressive quelques fois. Je prit un licol qui traînait dans mon sac rempli d'affaire et déverrouilla le loquet, je pénétra dans le box et présenta la muserolle du licou a Cao. La jument ne se fit pas prier, je put lui enfiler sans problème, elle avait sans doute besoin de sortir. Je l'attacha, tout comme a la veille, a a un anneau et déposa mon sac de pansage non loin de l'alezane. Je jugea la robe de la jument qui ne c'était pas salit depuis hier, je pris de suite un bouchon et commença le pansage. Pendant que je lui brossait les membres, elle manqua de me faire tomber. Je la gronda et grogna un peu puis reprit la ou j'en étais. Je pansa la jument assez longuement et la lustra a la brosse douce. Je lui cura les sabots et démêla ses crins, une fois cela fait, a l'aide d'une brosse douce de petite taille, je fit la tête de la jument. Lorsque elle fut bien propre, je la laissa le temps de prendre le matériel necessaire.

>> Attend ma Belle, je revient.

Je revint 5 minutes plus tard avec mon équipement. Je mit le tapis sur le dos de la belle qui chercha a me mordre. Je la menaça de la main et plaça l'amortisseur sur son dos et enfin la selle. Lorsque je voulut boucler la sangle, elle se tourna mais je lui donna une tape sur le nez et elle se tint tranquille, je put la sangler dans le calme. Une fois la selle en place, je lui mit le filet, elle ne fit pas d'histoire et resta sage. J'ajusta le filet a sa tête et enfila ma bombe. Les rênes dans la main droite, je me dirigeait vers la sortie du domaine. Japercut le temps grisé et décida de travailler au manège.



(manège)


Je revint d'une séance génial avec la belle alezane. Arriver a son box, je détacha les boucles de son filet et lui ôta avant de lui mettre le licol. Je dessangla la belle et remonta les étriers. J'enleva la selle de son dos, la transpiration sous la selle était en nombre. Je tapota l'encolure musclé de ma louloute avant de regarder si la douche et le solarium était libre. Pour une fois, il n'y'avait personne, je m'empressais de détacher la longe et Cola me suivit jusqu'à la douche. J'alluma le jet puis commença par ses membres. Je remonta progressivement vers l'épaule et l'encolure puis le garrot et le dos. Je fit les reins de la jument et sa croupe. Une fois bien trempé de chaque côté, j'alla dans la réserve prendre un shampoing au oeufs. J'alla shampouiner la belle. Après 1h passer a la frotter, je la rinça. Lorsque plus aucune trace de savon de résista, je l'amena au solarium, je l'attacha et la laissa, j'aller faire son box pendant ce temps. Je nettoya le box a fond, d'abord a la pelle, ensuite au râteau puis au balais. Une fois que tout ce qui si trouvait fut enlevé, je me servit d'une éponge pour nettoyer, abreuvoir, mangeoire et râtelier. Le box propre, je le pailla avec la réserve de paille d'Axelle. Je mit un cartier de foin dans le râtelier de la belle, lui donna quelques carottes et pommes découpées en morceaux dans la mangeoire et alla voir si elle était sèche. Je passa a main sur la jument dont le poil avait sécher, j'alla la rentrer dans son box. Je la détacha et lui fit un gros bisous. ♥

« Encore moi »



En l'absence d'Axelle, je lui avais demandé si je pouvais m'occuper de Cola Cao, la jument que je préférai dans tous ses chevaux. Elle avait gentiment accepté. J'étais super contente ! C'est donc avec un grand sourire que je me dirigeai vers le domaine d'Ecaussines, appartenant à mon amie Axelle, pour m'occuper de l'alezane, après Ali Baba, mon étalon arabe gris. En arrivant, j'allai à la sellerie du domaine, ou je pris le harnachement et le matériel de Cola Cao. Je décidai de la travailler un peu à la carrière. Nous verrions une fois sur place ce que nous ferions. Je posai le matériel à côté de son box puis j'ouvris la porte. La belle jument arabe alezane me regarda. Je lui tendis ma main et elle la sentit.

"Alors, ma belle, tu te souviens de moi ? Je vais m'occuper de toi quelques jours, jusqu'au retour de ta propriétaire." murmurai-je à la jument en la caressant.

J'entrepris de faire le pansage de la jument alezane. Je l'étrillai pour enlever la boue séchée et toutes les saletés de sa robe. Elle ne me facilita pas la tâche. Ce fut pareil quand je lui passai le bouchon et la brosse douce. Elle me bouscula, se poussa dans tous les sens sauf le bon, tenta de me mordre. Ensuite, je démêlai sa crinière et sa queue, avec une brosse à crins et du démêlant. Puis je nettoyais ses yeux et ses naseaux avec une éponge et je lui curai les pieds, non sans mal. Avec une jument pareille, c'était comme avec Ali Baba. On passait rapidement maître dans l'art de l'esquive des coups et des morsures. Maintenant, il fallait l'harnacher. Je commençais par lui mettre des guêtres, des cloches et des protège-boulets. Je lui mis ensuite son filet, puis j'attachai la muserolle et la sous-gorge. Je posai tapis de selle, amortisseur et selle sur le dos de Cola Cao, puis j'attachai le collier. Je passai la sangle dans la courroie de la martingale puis je sanglai. Je pris ma bombe et mes gants puis je me rendis à la carrière.



__________________Carrière__________________


Après cette séance de saut avec Jusan et Lusaka, je ramenai Cola Cao à l'écurie. Je la dessellai puis je fis son pansage. Je lui donnai une pomme et une carotte. Puis, après de nombreuses caresses, je décidai de la laisser tranquille. Je sortis de son box, je fermai la porte puis je ramenai le matériel à la sellerie.