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| Box de Prunelle | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Box de Prunelle Dim 15 Avr - 10:01 | |
| PRUNELLE d'Ecaussines nom complet : Prunelle d'Ecaussines
âge : 3 ans
race : welsh | -
| propriétaire : AxelleWtf
robe : Bai cerise
sexe : Jument
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«Prunelle n'a pas beaucoup changé depuis sa tendre enfance. À part le fait qu'elle se soit considérablement embellie, elle est exactement la même. En effet, son physique n'a fait que se modeler. Une tête expressive, des courts mais puissants membres, elle fait une magnifique jument polyvalente. Ce qu'elle préfère est sans aucuns doutes le travail à pieds et les jeux, être en osmose avec son cavalier. Jouer avec elle est la seule chose qu'elle vous demande en retour de sa gentillesse incontestable. Prunelle fera tout pour ne pas vous décevoir, se donnera à fond lors des concours, et sera présente lors ce que vous n'allez pas bien. Une jument parfaite ? Sûrement ! Elle sera comme votre soeur, un membre à part de votre famille ; et en plus de ça, une excellente poulinière. Mais n'oubliez pas que cette jument aura beaucoup de mal à se séparer de sa soeur jumelle, Absinthe, et qu'elle démoralisera rapidement si elle ne peut la voir régulièrement.» |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Box de Prunelle Dim 15 Avr - 18:01 | |
| « And I learned to live half alive. » → Découverte, dimanche quatre.
Flash-back. Mon téléphone sonnait. Je me réveillai en sursaut, ne voyant plus rien. Mon réveil indiquait quatre heure et demie du matin, personne n'avait l'habitude de m’appeler à cette heure ci. Je soufflai péniblement, et ôtai ma couverture sous la quelle je m'étais emmitouflé. À tâtons, je cherchai mon portable, et le décrochai péniblement. » Al...Allô ? » Axelle ? Désolé de te déranger à cette heure ci mais Baya est en train de mettre bas, si jamais tu veux venir... » Bien sûr, j'arrive de suite ! Je me jetai sur mes deux pieds, et me dirigeai vers la chambre de ma mère. Je la secouai dans tout les sens pour lui apprendre la nouvelle, et me jetai sur mon armoire. J'enfilai rapidement un jean, ainsi qu'un sweet qui ne me mettais pas en valeur, et terminai par prendre mes converses. Ma mère était encore en pyjama, je la tirai donc du lit. Je lui tendis les clés de la voiture, et attrapai une banane pour la route qui nous attendait. J'étais impatiente de commencer, je n'avais jamais été comme ça. Je tapai des pieds, j'en pleurai presque, serrant mon téléphone au point de le casser. Nous roulions vite, bien trop vite, mais je me devais d'arriver avant que tout ne se termine. ... Une fois arrivée à destination, je me jetai dehors, tombant sur un caillou. Je me relevai rapidement et courus en direction de mon écurie, l'écurie intérieure. Baya y avait été déplacée récemment, sachant qu'elle allait bientôt accouchée. Malheureusement, le vétérinaire avait prévu qu'elle en avait encore pour une semaine, mais mère nature avait du modifier la date. Je poussai la porte, et découvris le palefrenier et le vétérinaire. Je me présentai rapidement, et posai mes paumes nues sur le ventre de Baya, comme si ça pouvait changer quelque chose. Le poulain était justement en train de sortir, et de se faire tirer comme une chaussette. Je fermai les yeux, émues. C'était la première fois que j'assistais à une des naissances de mon élevage. Le vétérinaire, étonnée, m’annonçait qu'elle était enceinte de jumeaux et que le deuxième était en train de sortir. C'était rare, très rare. Des larmes coulèrent naturellement, j’enfouis alors mon visage dans les crains de Baya, qui se releva quelques minutes plus tard. Je sortis rapidement mon portable, et filmai les premiers pas des petits, tremblant comme une malade. Je ne savais pas encore de quelle sexe ils étaient, je n'en avais aucune idée. Le vétérinaire avait un sourire sur le visage. » Ce sont des femelles ! J'étais contente, contente. Je savais déjà comment elle allait s'appeler. La petite sautait un peu partout, et finit par trouver les tétines de sa mère, qui allait aussi bien que touts les autres jours. Je ne savais pas comment réagir, mais j'étais très contente. Prunelle, elle allait s’appeler Prunelle d'Ecaussines. C'était une fille de deux champions, une petite championne. Je la voyais déjà sur des parcours de sauts. Je me relevai, et quittai le box, contente. Je finis par envoyer la vidéo à Encre, qui n'était sans doute pas encore au courant. La vidéo montrait ses premiers pas, ses premiers pas dans le monde, dans notre monde. Fin du flash-back. Le temps passait vite, effectivement. Cela faisait déjà six longs mois que la petite Prunelle m'appartenait. Six longs mois, où nous avions passés notre temps à se câliner, et à s'amuser. Aujourd'hui était son anniversaire des six mois, et je ne savais pas vraiment trop comment le prendre. Je n'avais rien prévu de particulier, à part peut être lui passer le licol pour la première fois ! Elle me connaissait déjà, et elle n'avait vraiment pas l'air compliquée. J'ouvris la porte du box, et me baissai pour être à la hauteur de la pouliche, ma pouliche. Sa robe bai était de plus en plus belle chaque jours, c'était incroyable. Elle n'était pas très grande pour son âge, et moins grande que sa sœur. Normal, elles avaient été deux dans le ventre. Je caressai son encolure, puis son dos. Elle n'était certes pas grande, mais elle grandissait chaque jour un peu plus. Un peu trop vite, même. Je la voyais se métamorphoser, devenir une vraie jument. J'aimais beaucoup quand ils étaient bébés, poulains. Mais j'étais pressée de me voir sur son dos, ce qui me perturbait profondément. » Coucou ma belle, je suppose que tu vas bien. Tu connais le licol ? Je sortis de ma poche le licol bleu, qui était justement là pour être porté sur le bout du nez de madame. Je lui présentai gentiment, mais madame n'avait même pas besoin de le sentir, elle me faisait confiance. Je me relevai, et commençai à marcher dans le box. Prunelle me suivait partout, comme un petit chien. Notre lien était fort, très fort. Jamais je n'avais eu ce lien avec un de mes équidés, je l'aimais déjà plus que tous. C'était certes égoïste, mais je n'arrivais pas à contrôler mes sentiments. Je lui représentai le licol, dans ma main, et le pliai dans tout les sens pour qu'il ne dépasse pas de ma paume. Je commençai à caresser la pouliche avec, comme si je la caressai avec seulement ma main. C'était la technique que j'utilisais avec touts mes chevaux, sans exception. Elle était rapide et efficace, et surtout très douce et non traumatisant pour le poulain. En effet, le débourrage était très important, et nous ne pouvions pas nous permettre de le rater. Je déployai petit à petit le licol, sur son dos, partout. Elle s'y habituait plutôt bien, et se laissai faire. Je finis par l'ouvrir complètement, et le présentai devant son nez. Je fonctionnai maintenant par étapes. Je lui montrai, puis j'arrêtai, j'allai plus loin, et j'arrêtai et ainsi de suite. Petit à petit, j'arrivai à le fermer, sans trop oser. On m'avait toujours dis de foncer, mais son avenir était en jeu. Je réfléchis quelques secondes, et finis par le boucler sur sa petite tête. Prunelle était sage, comme toujours. Je m'éloignai, et pris une photo de notre première fois en licol. J'étais tellement contente de nous, mais surtout d'elle ! Je m'éloignai du box, la larme à l'oeil. Je lui ai mis le licol pour la première fois, donc je conclus une des étapes du pré-débourrage.
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Box de Prunelle Lun 23 Avr - 17:30 | |
| « And I learned to live half alive. » → Brosse & longe, dimanche quatre.
Je refermai la porte du box d'Arobaze, et secouai mes mains sur mon pantalon noir. Il était immaculé de tâches blanches, de la bave de cheval, sûrement. Je pris la direction de l'écurie intérieure, là où se trouvait mes poulains, mes deux poulains. Je caressai le petit Nobody, et déposai un baiser sur son bout des naseaux. Je refermai la porte du box derrière moi, et ouvris celle du box de Prunelle, la belle Prunelle aux yeux d'ange. Elle était mignonne, même adorable cette jument. Je tendis ma main vers elle, et caressai sa douce encolure.
« Coucou ma belle ! »
Je déposai un doux baiser sur son front encore peu large. Prunelle semblait grandir de jour en jour, petit à petit. Je n'aimais pas voir mes bébés grandir. Je voulais qu'ils restent petit, comme une peluche, qu'on aime câliner. Je caressai son encolure, puis son dos, elle aimait mes caresses. Nous avancions très vite dans le débourrage, en une séance, elle connaissait déjà le licol. Il ne nous restait que les brosses, le cure-pieds, et le pré-débourrage sera alors terminé. Je lui tendis une friandise, que la belle avala en une fraction de seconde. Elle était vraiment à croquer ! Je pris le licol poulain de couleur bleu, la seule couleur que je trouvais en magasin. Je lui tendis soigneusement, et fermai la boucle par dessus ses oreilles. Prunelle s'approcha de moi, et se coucha, posant sa tête sur mes genoux. Je caressai le contour de ses yeux, le plus doucement possible. J'étais persuadée qu'elle aimait mes caresses, ça se voyait. Je me relevai, en même temps qu'elle.
« On passe aux brosses ? »
Je voulais rapidement terminer le pré-débourrage. J'essayai de faire ça rapidement, sans non plus aller trop vite. Prunelle n'avait pas l'air perturbée, elle était même heureuse de découvrir tout un tas de nouvelle chose. J'attachai la longe à un des anneaux d'attache, et doucement, me relevai en direction de la sellerie. Je la laissai lécher le mur, comme si c'était un bonbon. Je pris une brosse, et la lançai en l'air. Je la rattrapai en un petit bond, et retournai vers la pouliche de couleur bai. À ma vue, elle se redressa, et hennit doucement. Elle était décidément à croquer, tout comme le fruit qui portait le nom de son prénom. Je lui présentai la brosse, qu'elle sentir brièvement avant de retourner ses naseaux sur ma main. Je lui tendis une petite friandise, et commençai à passer la brosse sur son encolure. Elle recula légèrement, surprise, puis finalement se laissa faire. Elle était incroyablement calme pour une première fois, le débourrage en effet allait être plus que rapide ! J'enlevai la brosse de son encolure, et fis la même chose sur sa croupe. Prunelle ne cessait de me regarder, d'essayer de jouer avec moi. Je n'avais qu'une envie : lui faire des câlins. Mais c'était l'heure de travailler, et elle devait le comprendre. Je finis par serrer doucement son antérieur, et lui demandai de le lever. Elle finit par le donner, en échange d'un petit baiser et d'une friandise. Je finis par prendre ma longe, et la détachai de l'anneau. Je la lui tendis, elle l'attrapa entre ses fines lèvres de poulain. Pourquoi pas l'habituer au mors, maintenant ? Je ne voulais pas de suite lui mettre dans la bouche, mais simplement mettre la longe, ou mes doigts. J'enfonçai un petit peu la longe dans sa bouche, qu'elle mâcha langoureusement. Je n'avais jamais vu une jument aussi facile ! Je mis mes doigts à la place du mors, et chatouillai doucement sa langue. Prunelle eu un mouvement de recul, et vint se frotter contre moi. Je caressai son encolure, lui tendis un bonbon à la menthe, et me relevai, avant de quitter le box.
Je lui ai passai les brosses sur le corps, tout doucement, ainsi que le cure-pied, et j'ai fini par mettre ma longe dans sa bouche, ainsi que mes doigts pour l'habituer à un futur mors. (;
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Box de Prunelle Mar 24 Avr - 9:10 | |
| - Confiance + 5
Moral & soins + 4 Débourrage + 3 (+3 pour les brosses)
+ 4 pommes
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Box de Prunelle Mer 26 Sep - 15:26 | |
| - [Prunelle est devenue une belle jument, puisque tu as finit le premier quart du débourrage ^ ^]
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Box de Prunelle Lun 4 Fév - 21:26 | |
| » filet / tapis / selle
Les écouteurs dans les oreilles, la tête dans les nuages, je prenais la direction du box de Prunelle, qui se trouvait dans les écuries extérieures. J'avais passé une journée épuisante en cours aujourd'hui, et après tout ça, je venais reprendre de la "nature" au centre équestre. C'était une demie-heure de vélo que je venais de faire, juste pour venir voir ma petite ponette tout juste âgée de trois ans. Ces temps ci, je croulais sous les devoirs mais je croulais aussi sous les débourrages. Six débourrages à faire, c'était beaucoup, mais je me sentais capable de le faire. Oui, j'étais même motivée pour terminer celui de Prunelle en ce jour. Je m'étais donc rendue au haras avec plaisir, le sourire jusqu'aux lèvres. J'étais maintenant en face du box de Prunelle, dont la liste tachetée de blanc me faisait rêver. Cette petite ponette était vraiment magnifique, mais aussi vraiment très attachante. Je caressai le bout de son museau, et déposai un petit baiser sur ce dernier. C'était vraiment agréable d'avoir une ponette pareille. Mais en ce moment, elle me tapait légèrement la déprime. Sa soeur jumelle qu'elle n'avait pas vu depuis une semaine lui manquait terriblement, ça me faisait mal au coeur, vraiment. J'entrai dans son box, et lui présentai rapidement le licol en cuir que je lui avait offert pour son troisième anniversaire. Elle rentra son museau dedans, et je clippai la longe à l'anneau prévu pour. Je la regardai ainsi, plusieurs minutes, sans pouvoir détacher mon regard de ses tendres yeux. Je finis par serrer son encolure dans mes bras, comme je le faisais pour mes doudous étant petite. Je lui tendis par la une friandise à la carotte qu'elle prit entre ses lèvres bicolores. J'ouvris d'avantage la porte du box et laissai sortir la belle welsh baie. J'allai tout d'abord l'attacher à l'anneau extérieur, puis lui faire un bon pansage avant de passer à l'étape débourrage. J'avais déposé au pied de la porte le sac de pansage qui était composé de quelques brosses, de ma bombe et de mes gants. Je sélectionnai tout d'abord une étrille américaine, que je laissai parcourir sur son poil d'hiver qui commençait légèrement à tomber. Le temps était étrange, ces temps ci. Je continuai tout de même à la brosser de fond en comble, passant de l'encolure à la croupe. Rapidement, je laissai tomber cette brosse et pris maintenant un bouchon, pour mettre fin au pansage. Effectivement, la jument passait tout son temps au box, ce qui l'empêchait de sa salir. Maintenant, je pris un cure-pieds et enlevai toute la paille qui s'accumulait sur la sole. Rapidement, la jument était toute propre. Puis je quittai la belle quelques secondes pour pouvoir aller chercher le matériel : un filet, une selle, et un tapis.
La belle Prunelle n'avait pas bougé d'un pouce. Je mis près de son box tous les équipements que j'avais ramené, nous passions maintenant aux choses sérieuses. Je pris le tapis, et lui fit doucement sentir. La belle welsh ne bougeait pas, elle sentit rapidement l'objet bordeaux, sa couleur. Puis je le rapprochai de sa tête, le dépliai... Le mis sur son dos, sur sa croupe... Prunelle ne bougeait pas, elle était vraiment adorable, une petite tarte à être débourrée celle là !! Je posai le tapis sur son dos et lui donnai une friandise, la félicitant longuement. Puis je détachai la longe, et la fit marcher avec le tapis sur le dos. J'étais contente de ça, mais je voulais plus. Je rattachai la puce et prit maintenant une de mes selles de débourrage, qui était légère et peu confortable pour le cavalier. Pas grave, je pouvais monter avec et soulager un peu ma jument, non ? Je posai donc la selle sur son dos, et la gigotai un peu dans tous les sens. Je sentis que la jument avait serré les fesses mais pris tout de même la sangle, que je serrai au premier trou. Je détachai la longe et posai cette dernière sur mon bras, pour ne pas qu'elle tire au renard. Puis je claquai les étriers, tapai légèrement dessus. Prunelle n'était pas bien mais elle ne partait pas au galop non plus, c'était une des raisons pour laquelle j'acceptai de le faire ici, dans l'écurie. Je finis par lui présenter le mors, qu'elle prit avec volonté dans sa bouche. J'étais vraiment très très heureuse avec elle, elle me vendait du rêve ! Je lui mis entièrement la filet sur la tête, puis après l'avoir fait marché, nous prîmes la direction du rond de longe.
La séance de débourrage était maintenant débourrée, et comme prévu, la petite ponette baie était débourrée. Son poil était trempé de sueur, je ne voulais pas plus lui en demander. Je l'avais serré dans mes bras, fort fort, tellement je l'aimais. Cette petite chose, je l'avais vu naître, et c'était un plaisir de la voir maintenant "adulte". Elle avait trois ans, et elle était débourrée, c'était tout bonnement parfait. Je caressai doucement son encolure et lui passai le premier licol qui me tombai sous la main, en direction de son box. Je l’attachai exactement au même endroit, mettant le licol cette fois ci en collier pour pouvoir détacher le harnachement. J'enlevai sa muserolle et sa sous-gorge, puis le filet entier. Prunelle semblait soulager de ce poids en moins sur sa petite tête d'ange ! Je lui fis un bisou, et lui mis le licol bordeaux qu'elle avait l'habitude de porter. Je détachai ensuite la croupière et la sangle, puis enlevai la selle et son tapis. Elle avait un bon dos selon l’ostéopathe, elle n'avait pas besoin d'amortisseur. Je lui tendis une friandise puis la quittai, pour aller ranger tout le matériel qui était entassé à ses pieds, que je devais notamment curer. Je posai toutes les affaires dans la selleie puis m'emparai d'un cure-pied et d'une brosse. Aujourd'hui, pas de passage à la douche, il faisait froid. J'allai simplement brosser son beau poil d'hiver. J'avais pris un bouchon, qui enleva la terre et la poussière collée sur ses membres et sous son ventre. Je pris ensuite le cure-pieds et dégageai la sole de ses quatre membres. La belle hennit, impatiente de toucher à sa ration. Je la remis dans son box et enlevai le licol, contente de ma journée. |
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