box de Toscane

La Première Rencontre avec Toscane de Land Roz

Ce matin là, je sautais de mon lit et me prépara en vitesse. C’était le premier jour que j’allais voir ma petite pouliche, Toscane enfin séparée de Cas Dans, sa mère. Etoly me l’avais vendu et j’en étais très heureuse. Je n’arrêtais pas d’y pensée le jour ou la jument était pleine, mais aujourd’hui était le grand jour, je ne l’avais pas vu depuis sa naissance, et j’avais du attendre 6 mois. Cela était trop dur. Je me dépêchai donc me m’habiller assez chaudement et je pris mes affaires, et partis en voiture. Mon cœur battait à une allure incontrôlable, l’envie de voir ma petite Toscane me hantait depuis si longtemps. J’étais presque arrivé au haras après bonne dix minutes de voiture, une fois garer sur le parking du centre je m’empressais d’aller la rejoindre dans son box. Je vus dès mon entrer dans les écuries, Rico puis Œuvre que je caressais au passage mais sans mis attarder. Puis arrivée devant la porte de Toscane, je fermais les yeux puis les ré-ouvraient, regardant ainsi la plaquette de bois plaqué or avec son nom écrit, et mon affixe. Je soupirais puis racla le fond de ma gorge, je m’y approchais en fermant les yeux doucement, posa mes mains sur la porte de son box. Je voulais que se soit une surprise jusqu’au bout, j’étais complètement folle. Un instant après mon regard enjamba la porte et tomba directement sur la petite pouliche. Je fus éblouie par sa beauté, par sa petite frimousse. La jeune pouliche était contre un mur, yeux fermés. Je fus un petit bruit avec ma bouche pour l’alerté de ma présence, puis elle fit un petit sursaut. La pouliche me regardait avec des grands yeux, surprise de mon arrivée, peut être un peu pommé, seule. Je ne voulais en aucun cas la traumatisé. Je restais longtemps en dehors de son box, pour qu’elle s’habitue à me voir, et j’essayais de l’attirais comme je pouvais. Je laissais tendre ma main vers l’intérieur puis environ 3-4 minutes après, Toscane s’avança doucement vers ma main, puis une fois un premier petit contact, elle fis un bond et repartit vers le fond en faisant un tour de box. J’étais tellement émerveiller par sa bouille. ♥

- Bébé ! Viens petit cœur… Clik-Clik

Toscane secoua sa petite tête dans tout les sens et se rapprocha une nouvelle fois. Je lui caressais cette fois, son petit front, puis le lui gratouilla. La petite émit un bruit comme un ronronnement. Ce qui me fit rire. Elle était trop choupi. Je continuais de passer ma main sur son encolure puis sur son dos. Elle sautillait dans son box et hennissant un peu. Le box d’œuvre étant totalement collé à celui de Toscane, avait sa grande encolure le mâle y passa sa tête et essayait de sentir la petite qui n’osait plus s’approchait. Je déposais un bisou sur les naseaux de l’étalon et le repoussa gentiment, il me tira la langue et se remis à manger dans sa mangeoire. Je souriais puis me concentrer sur se p’tit bout de pouliche. Elle me faisait trop craquer avec sa bouille & ses traits de caractère d’un petit poulain tout fou. Je reposais ma main sur la porte et essaya à nouveau de la toucher. Toscane fit deux trois petits bonds pour parvenir à moi puis elle pointa son museau en dehors du box. Elle me regardait avec des grands yeux, et je lui fis un bisou sur les naseaux, la petite éternua et recula. Je souris de nouveau et passa ma main sur le loquet, puis le souleva. La petite jument frissonna. Je me glissai doucement à l’intérieur en refermant la porte derrière moi. Toscane se colla contre le mur en bois de l’écurie et ne bougea plus. Je voyais sa poitrine se gonfler et ce dégonfler au rythme de sa respiration, qui allait plutôt vite. Elle fouilla le museau dans la paille, quelque chose peut être par ce qu’elle ne savait pas quoi faire. La pouliche bougeait ses oreilles, et me fixait toujours faisant semblant de chercher un truc dans la paille. Je m’assis sur la litière, encore propre et m’adossa au mur. Je croisai les jambes et attendu un long moment, observant le bébé. Sa bouille se tourna vers moi et son petit corps s’avança timidement. Ses naseaux de velours effleuraient ma tête. Je caressais délicatement sa tête puis son encolure toute fragile.
Je devais ensuite partir. Tellement déçu de ne pas pouvoir restais plus longtemps, mais pour un premier contacte c’était pas mal. Je m’éclipsais un peu vite, mais sans geste brusque.

Confiance +6
Moral & soin +6

Pommes +3

C'était la deuxième fois que j'allais voir ma petite pouliche, du nom de Toscane. Je n'avais pas vraiment eu le temps de lui apprendre le licol ou autre mais en tout cas je savais que les garçons d'écuries s'en était un minimum occuper. A mon arrivée, devant son box je pus découvrir un mot.
'' La petite ce laisse assez bien approchais mais elle à tendance à vouloir partir du box des qu'on l'ouvre. Oh la Chipie ! ''
Je souriais & voulu en faire l'expérience. Je baladais juste ma main dans le box pour attirais la petite pouliche alezane. Je pus constatez que le garçon d'écurie était passer ce matin très tôt car il y a avait un filet de foin à moitié vide, le box assez propre, et une ravissante pouliche à la robe éclatante. Trop mignonne quoi. J'étais sous le charme de cette bouille qui était entrain de me léchais les doigts. J'entrais donc doucement dans son box, la petite s'avançais vers moi en essayant de me contournais pour éventuellement passer.

- Oui t'inquiète pas ma fille, on va dehors après.

Je la repoussais gentillement. Et vu sur le mur un licol & une longe pour poulain. Super ! Je pris le beau licol rouge pour bébé et m'approcha doucement d'elle, bien que je n'eu que a me tourner vu qu'elle me suivais partout. Je lui flattais son encore & essayais de lui passer le licol doucement. Elle piétinait sur place comme pour le refuser en poussant sa tête vers l'arrière. Je ne voulus pas la forcer mais ... c'était trop tard je lui avais mis. Je la laissais gambader dans son box avec le licol sur le museau, pour qu'elle s'y habitue un peu.

PAS FINI

« Dimanche 6 Mai.

Je venais d'arriver au centre, ma mallette à la main, et je me dirigeais vers mes écuries. J'allais rendre visite à ma jeune pouliche de 3 ans, qui avait bien grandit maintenant. La belle alezane avait la tête dans son fourrage, à mon arriver elle vient très vite à la porte du box. Elle avait l'air une peu folle. Je lui caresser le bout des naseaux. Je pris son licol et une longe, et rentra à l’intérieur du box avec la miss. Folle, oui très folle, elle bougeait partout. J’essayer deux trois coup avant de réussir à lui mettre son licol, elle passa la tête de temps et je soufflais un bon coup. « Piouf… Toscane va falloir ce calmer ^^ » Je lui fis un bisou sur le front, et en même temps j’ai faillis me prendre un coup de tête. Super. Je l’ai sortie de son box puis l’attachait à l’anneau. J’ouvris ma mallette et commençais à la brosse avec mon étrille, la pouliche essayait de me l’arracher des mains ou même d’en après dans ma mallette qui était même beaucoup trop loin d’elle. Je commençais à être lassé de son excitation alors à chaque mouvant trop brusque ou déplacé qu’elle faisait, je la recadrais. Je flattais son encolure quand elle était calme. J’avais fini de brosser Toscane, et je curais ses sabots. La pouliche mis longtemps avant de me laisser soulever ses membres. Puis je finis par lui graisser ses sabots, démêler ses crins et voilà. Je voulais la calmer au rond de longe et la testé avec une selle sur le dos. Je détachais la longe et l’emmena au rond de longe.

Rond de Longe

Je ramenais la jument dans son box, elle c’étais un peu calmer au retour, car on c’était arrêter plusieurs fois, pour qu’elle renifle les chevaux qu’elle voyait, qu’elle broute un peu et qu’elle marche calmement. Je la fis entrer dans son box, et j’allais dans la sellerie pour ranger la selle et ramener un seau d’avoine et une brosse. Je versais le seau dans sa mangeoire mais au passage, elle mit sa tête sous le seau et m’en fit renverser par terre. Je lui gratouillais l’arrière des oreilles et commençais à la panser après avoir remis le seau là ou il était. Je la caressais longuement et lui fis un bisou sur la joue sans la faire bouger. Je flattais son encolure et laissa une gourmandise dans sa mangeoire. Je pris mes affaires et partie.

« Vendredi 18 Mai.

J'arrivais sur le chemin de mon domaine, à pied, mes affaires à la main sous une petite pluie fine. Je me dépêchais d'entrer dans mes écuries puis alla directement dans ma sellerie. Je rangeais dans mon casier, les choses dont je n'avais pas besoin pour le moment. Et je pris simplement le matériel de pansage de la jeune Toscane et son filet. Je me postais devant la porte de son box, le sourire aux lèvres et l'appela tranquillement. La pouliche, leva la tête vers moi puis marcha tranquille, atteignant ainsi la paume de ma main. Je lui caresser doucement son front. J'ouvris la porte du box, et Toscane s'approcha vers moi, essayant de sortir, mais rapidement je la poussais vers le fond de son box pour pouvoir refermer la porte. Je la caresser de nouveau. J'accrochais la longe à son licol, et je la sortie de son box, en l'attachant à l'anneau en face. Je commençais à brosser la pouliche, qui ne semblait pas broncher du tout, aujourd'hui. Je continuais de brosser son magnifique pelage alezan. Une fois terminé, je passais au curage de sabot, puis pris le temps de frotter avec la petite brosse. Je graissais ses sabots, démêler ses crins, et passa une éponge humide dans le coin de ses yeux et naseaux. La jument, regardée partout autour d’elle, sans arrêt. Je ne savais pas pourquoi. Je pris l’initiative de faire son box. J’allais chercher une brouette, une fourche et je me mis au travail. Ensuite je passais un coup de ballet dans l’ensemble du box et à l’endroit ou j’avais pansé ma jument. Je mis ensuite la nouvelle paille et je partis vider la brouette dans le tas de fumier dehors. Je revenais vers la belle pouliche. Je la caressais, en la regardant, ne sachant pas quoi faire. Je lui parlais, et lui gratouiller les oreilles. Je disparus dans la sellerie, à côté, puis pris les affaires de monte de Toscane. Je plaçais doucement le tapis de selle sur son dos, prêt du garrot. La jument eu un léger frisson, et coucha rapidement ses oreilles. Je mis un amortisseur sur le tapis, puis mis la selle et la sangla. La pouliche n’aimait vraiment pas ça. Je la rassurer et lui donnait quelques bouts de carottes, je flattais son encolure. Mon regard ce bloqua dans le sien.
Je l’a détachais, et la fis marcher en dehors des écuries. Elle n’appréciait pas trop, et fit quelques écarts de temps en temps. Je la fis marcher une bonne demi-heure et on rentra. J’enlevais tout sa, de son dos, et la remis dans son box. « Voilà ma chérie, on se verra plus longtemps la prochaine fois, je dois aller m’occuper des autres ♥ » J’embrassais son museau et lui donna une petite friandise. Je disparus dans les écuries.

Rencontre avec Toscane
J'allais tranquillement dans l'écurie regarder qui devait être travailler aujourd'hui, pendant que Coco était en vacances, je m'était proposée à soigner ces chevaux. J'avais déjà repérée Toscane, sa petite jument, qui était actuellement en vente. J'attendais encore mes notations pour passer l'étrier 1 mais j'était presque arrivé au but. Nous nous partagions le travail avec jusan. Toscane me plaisait vraiment et j'espérai pour l'acheter. Je l'observa donc depuis l'extérieur du box, elle était vraiment belle. Elle était déjà pas mal musclée, avait un dos bien droit, le garrot pas trop saillant. Sa bouille d'ange m'avait fait craqué ! J'ouvrit la porte du box de la pouliche, tout de suite, celle-ci se retourna et tenta de s'échapper. Une vraie coquine ! Je réussit à l'arrêter et la caressa doucement. Coco m'avait demandé de m'occuper de ses chevaux, cela incluait aussi de les débourrer ? Je ne pense pas, j'allais quand même la sortir un peu, tranquillement, juste en longe. Ce la ne lui ferait pas de mal ! Je la caressa d'abord quelques minutes. Je passa ma main le long de son flanc, puis un peu partout. Coquine et étonnante, elle n'avait absolument pas frémit, au contraire, on aurait dit qu'elle éprouvait un malin plaisir à ce soin un peu mystérieux pour elle. Je sortit du box pour aller chercher un bouchon, une longe et un licol. Je lui passa un petit coup sur l'intégralité du corps, puis posa ma main sur son encolure. Toscane de bougea pas, elle resta là, paisible, je passa alors la longe autour de son cou. Tout de suite, elle recula et fît un écart pour tenter de se dégager. Je garda ma main fermée sur la longe.
Doucement, ma belle.
J'attendit qu'elle se calme et une fois ceci fait, je lui passa le licol. J'y clipsa la longe et la repris entre mes mains. Je sortit du box avec elle et partit me balader environ une demi heure. Elle resta calme, évidement "calme" pour une pouliche de trois ans, c'est à dire un petit écart à chaque bruit suspect ou tout simplement un petit hennissement, mais rien de bien méchant. Je rentras dans l'écurie et l'attache à un anneau. Les rations devait bientôt être servies et j'avais décidé de m'occuper de Toscane. Celle ci fut un peu surprise de se retrouver bloquer et tira un peu. Je pris un cure-pied qui traînait non loin de là et lui fît sentir. Toscane n'était pas du tout apeurée. Je m'approcha de son antérieur droit et lui demanda son pied. Elle me le donna et le gigota tout le long de son "nettoyage". Je fit alors le gauche et elle le posa délicatement. Pas les postérieurs aujourd'hui, c'était déjà très bien, nous attendrons demain pour le niveau supérieur. Je la laissa un peu seule le temps de prendre sa ration dans la granetterie, quand je passa devant elle, elle poussa un petit henissement. Je versea la ration dans sa mangeoire et rangea la mesure. Je finis par détacher la pouliche et la remettre dans son box. Elle se précipita pour déguster son déjeuner. Ah ! Ces poulains alors ! Enfin, elle avait quand même 3 ans la petite !
A demain ma grande !
Je me dirigeait vers le box de Lux.