Box de Nicki

La belle ayant eu une bonne séance de saut hier, je préférais la détendre en longe aujourd'hui, 50 minutes maxi. J'eus un sourire en entendant le hennissement de Nicki lorsqu'elle me vit non loin de son box. J'ébouriffais gentiment son toupet, toujours joyeuse près de la douce jument. je m'accoudais à son box et restais ainsi, fixant ses yeux si expressifs. Je glissais une main dans ma poche et saisis un morceau de pain dur que je présentais à Nicki. Elle prit le pain dans ma main et le croqua comme si c'était la chose la plus savoureuse qu'elle ait jamais goûté.


Je soulevais le loquet qui fermait la porte du box et y entrais, refermant le portillon derrière moi. Nicki rentra sa belle tête et m'effleura du bout des naseaux. Je la chatouillais appréciant son souffle chaud dans ma nuque. Je caressais sa joue avant d'allonger le bras et de refermer les doigts sur le licol de la jument, suspendu sur un crochet près de la porte. Je le présentais à l'alezane, qui chercha à le faire glisser sur sa tête. Je lui enfilais, passant délicatement ses petites oreilles toute douces dans la têtière.
Je rouvris le box et en sortis, la tête de Nicki limite sur mon épaule. Je fis une boucle toute simple avec la longe et laissa la belle quelques instants dans l'allée, le temps de récupérer la mallette de pansage que j’avais vaguement ranger après m'en être servi avec Free. Je retournais vers Nicki, la boîte se balançant au bout de mon bras. Je la posais à côté de la jument et m'accroupis pour choisir les brosses que j’allais utiliser.
Je sortis une étrille en caoutchouc grise, un bouchon à poils longs et une brosse douce toute simple. J'alignais les trois brosses sur la bordure métallique de la cloison de bois, en gardant l'étrille en main. J'appuyais les crans de la première brosse sur l'encolure de Nicki et commença le pansage, en essayant de trouver les zones où la p'tite brune était plus sensible.J'étendis les cercles de l'étrille à l'épaule de l'alezane, avant de partir sur le flanc.Ce soir, je prenais mon temps, je n'étais pas pressée car mes parents étaient partis au restau.
Je me décalais un peu de façon, à pouvoir brosser le flanc de Nicki. Je remontais ensuite vers sa croupe avant de me glisser à la droite de la jument. Je terminais la "session étrille" et la replaçais directement dans la mallette. Je passais sous la tête de la jument et pris le bouchon sur la porte du box. Je lui adressais une petite caresse avant de reprendre le pansage. Cette fois, je passais le bouchon d'un geste énergique, ce qui tira Nicki du demi-sommeil où elle était plongée.
Une fois le passage du bouchon terminé, je le remit dans la boîte, à côté de l'étrille, que j’avais rangée un peu plus tôt. Je passais l'élastique de la brosse douce sur ma main et commençais à lustrer le beau pelage alezan. Je finis par donner un coup de brosse sur la tête de la jument, qui me regarda faire paisible.



Je rangeais tout mon matériel de pansage et alla le ramener dans la sellerie. Je regardais ensuite où j'avais mis le licol de trvail et e dénichais sous un tas de tapis de selle, si bien rangé xD Je le pris ainsi qu'une chambrière calée contre le mur, près des selles. je fis rapidement un tour de la pièce pour voir si je n'oubliais rien et sortis.
Nicki attendait patiemment, et n’avait pas bougé d'un sabot. Me sentant l'âme généreuse, je lui offris un bout de carotte avant d'échanger son licol contre celui que j'avais ramené. Je lui curais ensuite les sabots avant de l'entraîner dehors, direction, le rond de longe ou la carrière, à voir.

C’est bon, fini et retour des liens (;

Un agréable rayon de soleil s'infiltrait dans le domaine, créant une certaine intimité. J'arrêtais mes pas quelques secondes, pour écouter les bruits des deux juments, qui tantôt mangeaient, tantôt renâclaient, jouaient avec la paille de leur litière... Tout ça c'est mon univers. Je saluais Lyra, qui avait la tête sortie, l'oeil vif. Ca me faisais plaisir de voir que mes dadous s'étaient adaptés à ce changement d'écurie si rapidement. La belle shire se détourna de moi et j'en profitais pour aller au box en face.Nicki s'était reculée contre le mur du fond et roupillait un peu. Je posais mes mains sur le portillon du box et chuchotais:
Au son de ma voix, l'alezane tressaillit et cilla plusieurs fois, émergeant de ce que je pouvais imaginer être un profond sommeil. Elle s'approcha de moi, retournant la paille avec ses sabots. Je couvris sa tête de caresses, tripatouillais son nez tout doux, lissais son toupet... Après cette petite séance de papouilles, je lui demandais:
L'intéressée s'ébroua et ronfla des naseaux. Le temps était doux, pas trop chaud mais pas besoin de veste non plus. Idéal pour un travail en extérieur. Je lui glissais un "je reviens" et retournais sur mes pas, bifurquant pour entrer dans la sellerie. Ma mallette de pansage était posée par terre, près des selles. Je la pris et attrapais également une brosse à crins, ainsi que le licol éthologique, acheté depuis peu.Mon chargement sous les bras, je retournais vers Nicki, qui semblait vouloir se rendormir.
Pour éviter que cela arrive, j'entrais dans le box et enfilais un licol basique à Nicki, la paille craquant sous mes boots. La jument au bout de la longe, je quittais le box. Nicki pivota d'elle-même pour se retrouver face au mur. Je flattais son encolure et attachais rapidement la longe à l'anneau encastré dans le mur. J'ouvris la mallette de pansage que j’avais amenée quelques minutes plus tôt et en tirais une étrille en caoutchouc. J'imprimais des mouvements circulaires sur le flanc, le poitrail, la croupe le ventre et le dos avec la brosse, en espérant que ce petit pansage sortirait Nicki de sa torpeur.
Du bout du pied, je fis revenir la boîte de pansage vers moi et rangeais l'étrille parmi les autres brosses en vrac. Je plongeais la main dans ce bazar et triturais plusieurs brosses avant d'en sortir, que j'espérais être un bouchon. Bonne pioche! Je chassais la moindre trace de poussière de la robe alezane de Nicki avec des gestes énergiques. Je finis par caresser la belle, irrésistible avec sa bouille d'ange. De ma poche, je sortis trois bonbons pomme/miel de la dernière fois et lui en offris un, gardant les autres autres. J'estimais que le passage la brosse douce était inutile et m'attaquais donc aux sabots de l'alezane. Ils étaient à peu près propres, étant donné que Nicki n'avait pas quitté son box de la journée.
Je finis le pansage en examinant soigneusement ses membres, à la recherches d'éventuelles blessures. Heureusement, je n’en trouvais pas. Je caressais encore une fois la jument avant d'entasser les brosses qui étaient tombées dans la mallette et laissais ça là. Après tout c'était mon domaine, je pourrais ranger plus tard! Je me rappelais alors de la brosse à crins que j'avais récupéré à la sellerie te la saisis. Je débroussaillais les crins que l'on aurait pu qualifier de châtain clair avant de poser cette dernière brosse au sommet de la pile de bouchons, d'étrilles, de brosses douces qui s'entassaient dans la mallette. Je troquais ensuite le licol que portais Nicki contre l'éthologique et sortis du domaine, faisant un rapide détour par la sellerie pour prendre un stick.


Après cette belle séance de travail à pied, j'attachais la longe de Nicki à l'anneau d'attache sur le mur extérieur du domaine. Je rentrais à l'intérieur du bâtiment pour récupérer une éponge, un seau d'eau, un bouchon, un cure-pieds, une serviette, et le licol normal. En revenant près de la jument, je posais le seau d'eau près de ses sabots, l'éponge dedans. La première chose que je fis, c'est enlever le licol éthologique pour lui passer le violet basique. Je rentrais le licol de travail dans la sellerie et revins au pas de course. J'enlevais la poussière qui s'était déposé sur le pelage de Nicki avec le bouchon, et passais aussi surs ses membres, recouverts par endroit de sable.
Je m'engouffrais encore une fois dans le domaine, rassemblais les brosses éparpillées et ramena la boîte pansage à la sellerie. En ressortant, je vis Nicki, penchée sur le seau d'eau, qui se demandait visiblement si elle pouvait boire. Je reculais le seau, de façon à ce qu'il soit hors de sa portée et alla lui en remplir un autre. Je n'arrêtais pas de courir! Je plongeais l'extrémité d'un tuyau en plastique dans le seau et le remplis aux 3/4 avant de le porter à la jument, titubant sous son poids. Pendant qu'elle se désaltérait, je pris le cure-pieds. Voyant qu'il n'y avait que du sable, je pris le côté brosse et ôtais tout ça. Je passais ensuite l'éponge mouillée sur ses membres et les essuyais avec la serviette.
Une fois que la miss eut bu tout son saoul, je ramenais le seau ainsi que les divers instruments que j'avais pris avec moi. Maintenant, direction paddock! Elle y passerait la nuit et peut être la journée de demain si le temps le permettait, car elle n'avait qu'un petit abri, ne vivant pas en extérieur.

Touchie', tu peux noter le résumé au-dessus de celui-là, stp?

j'ai pas tout compris mais merci (:

Je contemplais avec désolation la robe alezane de Nicki, littéralement recouverte de terre. Une moue amusée se dessina sur mon visage et je demandais à la KWPN:
Pour réponse, la belle (enfin, on se comprend) se mit à mâchonner paresseusement du foin. Mademoiselle avait passé une journée et deux nuits au paddock mais non, elle était désabusée. Je poussais un soupir et la grattouilla derrière l'oreille, lui tirant un petit hennissement. Il allait falloir qu'elle se reprenne car aujourd'hui, c’était cross avec Rhéa et Sauterelle, et Etoly-Eole! Mais pour le moment, il fallait surtout penser à enlever les plaques de terre qui recouvraient Nicki. On avait troqué ma jument alezane contre une jument pie. C'est pour illustrer hein, j'ai jamais vu un pie avec cette couleur.
Avec l'étrille américaine, je décollais les mottes de terre, enlevais la boue séchée. Je passais également la brosse sur son poitrail, où subsistaient quelques "éclaboussures". Je rangeais ensuite l'étrille en fer et prit un bouchon, poils courts cette fois. En quelques coups de mains habiles, la robe de Nicki fut débarrassée de la moindre trace de poussière. J'insistais quand même sur le passage de sangle, après tout, on ne sait jamais! J’effleurais sa robe avec la brosse douce et curais soigneusement chacun de ses sabots avant de ranger tout le matériel.
La jument eut le droit à plein de câlins, tellement elle avait été sage pendant le pansage. Je tapotais son épaule avant de partir à l’intérieur du domaine. Je rangeais correctement la mallette de pansage dans la sellerie (pour une fois!) et chargeais la selle avec ce qui allait en dessous sur mon épaule droite, glissais le filet de la jument sur l'autre épaule, et pris les protections dans mes mains. Je butais sur une pierre à l'entrée du domaine et faillit m'étaler. Heureusement, Nicki n'était pas bien loin et je me rattrapais en posant sur son épaule. L'alezane s'ébroua, surprise et s'écarta. Dans ma presque-chute, j'avais laissé tomber deux cloches. Je maudis ma maladresse et les récupérais.
Je mis d'abord les cloches, puis les guêtres, en ajustant le scratch. Vint ensuite le tour du tapis de selle. Je le plaçais sur le garrot, mit l'amortisseur par-dessus. Je soulevais la selle de Nicki et la posais doucement sur son dos avant de bien dégarotter. La brunette hennit, et tapa du sabot par terre. Je lui caressais le chanfrein et lui offrit un quartier de pomme, pour la faire patienter encore un peu. Je sanglais en vitesse, et présentais le mors à Nicki, qui refusa d'ouvrir la bouche. Je soupirais et glissais mon pouce au coin de ses lèvres. La coquine fut bien obligée d'accepter le mors. Je mis la muserolle puis la sous-gorge. Avant de partir, je vérifiais si j'avais bien mis les protections. Tout était ok. J’enfonçais donc ma bombe sur ma tête, attrapais une cravache et nous voilà parties au terrain de cross, où nous attendaient sûrement les filles ( :

La lourde porte du domaine glissa sans bruit sur ses gonds. Je me faufilais dans l'ouverture et m’empressais de la tirer derrière moi. Dehors tombait une pluie fine, pas ce celle qui s'arrête au bout que quelques minutes, non, c'était un crachin persistant, froid qui en deux temps-trois mouvements vous trempait . Moi qui voulais travailler Nicki en carrière, on peut dire que c'était loupé...

Sans perdre de temps, je me dirigeais vers la jument, qui observait l'allée d'un oeil vif. Elle me salua joyeusement et s'ébroua, comme si elle pressée de sortir, ce qui m'étonnait. Enfin, tout m'étonnait chez elle... J'entrais das le box, ouvrant légèrement le portillon pour éviter que Nicki ne sorte d'elle-même du box. J'enfilais le licol sur sa belle tête, et attachais la boucle. Aujourd'hui, pas de temps à perdre, j’avais prévu une reprise de dressage et je voulais avoir le temps de faire quelques exercices avant (engager les postérieurs, transitions descendantes...), en plus de la détente.

J'étrillais Nicki, insistant sur le passage de sangle et sur son dos. Je continuais de la brosser un peu partout, avec des mouvements circulaires, plus ou moins petits selon la zone où passait ma main.L'étrille retourna ensuite dans la boîte de pansage et je poursuivis "l'opération" avec le bouchon, faisant voler quelques nuages de poussières. J'éternuais, et me frottais les yeux, que j'imaginais sans peine larmoyants. Je terminais rapidement de passer les brosses et pris un cure-pieds.

Je nettoyais chacun des sabots avant de vérifier chacun d'eux pour voir si la paroi ne ramollissait pas, ou si il n'y avait pas de blême. Mais non, tout était normal. Je reposais le postérieur de Nicki et caressais son dos, tout doux, tout propre, tout lisse. J'effleurais ses naseaux et ramenais le matériel de pansage à la sellerie. Toutes les affaires de Nicki était rassemblées dans un coin, une petite préparation que j’avais fait la veille. Chargée de son équipement, je retournais auprès de l'alezane et commençais par poser le tapis de selle, en avant sur son garrot, puis l'amortisseur. Soulevant la selle, je faillis m'étaler quand mon pied dérapa sur la sangle, qui avait du glisser du siège.

Je déposais la selle sur l'amortisseur, prenant garde à ce que les étriers ne battent pas contre ses flancs. Je pris ensuite la sangle et soulevais le quartier pour sangler. Habituée à ce que les chevaux gonflent leur ventre lors du sanglage, je laissas un peu de mou, le sanglage final n'aura lieu que dans le manège. Nicki hennit, protestant contre le fait que je ne lui portais pas beaucoup d'attention. J'enfouis mes doigts dans sa crinière et l'embrassais entre les deux yeux pour faire taire ses protestations. Je dégrafais le licol et le laissais sur son encolure, pour pouvoir mettre le filet.

On peut dire que les mors se mit tout seul.Je bouclais le montant de la muserolle, de façon à laisser passer deux doigts puis m'occupais de la sous-gorge. La belle brune jouait avec son mors et essayas d'attraper les rênes avec ses dents. Je les reculais avant de la caresser. la porte du domaine, récupérais un stick de dressage (au cas où) et nous voilà sous la pluie.

Deux jour que je me réveillais en me disant: aujourd'hui, un p'tit tour dans les bois, l'endurance me tente bien. Seulement le premier jour, pas de bol, le thermomètre indiquait une température avoisinant les 32°c rien qu'en début d'aprèm et je ne voulais courir aucun risque. Quelques jours plus tard, la chaleur infernale avait laissé la place à, oooooh, une jolie-petite-averse-qui-mouille-tout-plein-et-qui-transforme-les-sentiers-en-gadoue. Encore loupé.... Au bout du compte, je m'étais résignée à attendre, et le jour où la motivation avait osé repointer le bout de son nez, il faut croire que la jolie-petite-averse-qui-mouille-tout-plein-et-qui-transforme-les-sentiers-en-gadoue avait elle aussi fait son grand retour. Pfff...

Et aujourd'hui, rebelote (comme on pouvait s'y attendre,hein...), cette belle pluie au nom interminable était de retour parmi nous, et m'enquiquinait pas mal par la même occasion. Mais à force, j’aurais l'habitude... Poussant un soupir de lassitude, je pénétrais dans mon domaine, bien contente d'échapper à ma désormais ennemie jurée. Les dadous étaient calmes (enfin les deux juments présentes dans mes écuries), quoique un peu ensommeillés, comme si Lyra et Nicki se trouvaient plongées dans une sorte de transe. Fichue pluie, elle arrive à embêter mes chevaux aussi... Même l'alezane, d'un naturel curieux, semblait blasée comme c'était pas permis. Une chance pour moi qu'il faisait un temps de chien, j’avais pas super envie de donner des jambes à tout bout. Ce qui se serait passé si je l’avais montée.

Je me glissais dans le box, son occupante reculant d'elle-même pour me laisser de la place. Je tapotais sa belle encolure toute douce et m'appuyais contre son épaule, une main enfouie dans sa crinière, l'autre caressant sa tête de KWPN. Qu'est-ce qu'on était bien (enfin moi au moins) malgré le bruit des gouttes qui rebondissaient contre le toit du domaine. Je grattouillais le garrot de Nicki avant de me traîner paresseusement jusqu'à ma boîte de pansage, qui semblait abandonnée, toute seule au milieu de l'allée. Par chance, une brosse douce se trouvait en haut de la pile de brosses, qui formait une pyramide pour le moins instable.

Je retournais vers l'alezane, faisant plus mu-muse avec la brosse qu'autre chose. Mais au moins, j'aurais la conscience tranquille (je peux être une proprio exemplaire parfois). Apparemment, cela suffisait à Nicki, qui émit un bruit qui aurait facilement pu passer pour un ronronnement. Mes yeux s'agrandirent mais je secouais la tête: tout est normale, avec une fille comme moi.

La brosse finit par être abandonnée à la porte du box. Je caressais l'alezane, qui faisait bien attention à me donner un ou deux coups de tête quand ma main arrêtait de bouger. Rahlàlà, elle m'en faisait voir des vertes et des pas mûres mais j'étais folle d'elle... Allez savoir comment elle s'y prenait, au final, sachant que je n'étais pas du genre à apprécier qu'on me fasse tourner en bourrique.

Je lui adressais un regard tendre, auquel elle répondit par un regard placide. En fait, plus placide que ça, tu meurs. Ne sachant que faire de mes dix doigts, je commençais à tresser sa crinière, réussissant même à passer des élastiques à la fin. Je devais reconnaître qu'on était loin de l'oeuve d'art, mais pour quelqu’un qui n'avait pas de peigne, d'eau de tout ce qui fallait, c'était quand même pas mal. Alors que j’en étais à la moitié de la crinière, bercée par le souffle de Nicki dans mes cheveux, je fus prise d'une soudaine envie de roupiller...

Ta totote a fini