Box de Baya.

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Mardi 3 janvier
un peu de détente

En ce moment, j'aimais m'occuper de ma petite Baya en dernier. Elle me faisait oublier tout mes soucis de la journée et était toujours disposée à travailler, calme et gentille. C'est donc en fin d'après-midi, après avoir terminé de longer Khéops que je me rendis dans son box. La petite jument blanche me salua avec un hennissement puis fourra son nez dans le licol que j'avais à la main. Je le fermai et après une petite caresse sur son encolure, je sortais Baya hors de son box et l'attachai dans l'allée. Je m'appliquai à bien lustrer sa robe, peigner sa crinière et sa queue et curer ses quatre sabots. Ensuite j'allai dans la sellerie et y cherchai son harnachement. Je revins avec une paire de guêtres, mes rênes en corde et un couvre-rein. J'avais prévu de partir en ballade malgré les quelques averses, et le couvre-rein serait là pour nous réchauffer en cas de besoin ! Je l'équipai soigneusement de tout ce petit matériel et, une fois que tout était correctement mis, j'attrapai ma bombe et quittai l'écurie avec ma blanche.

(sentiers de ballade)

Les fesses un peu en compote mais heureuse, je ramenai Baya au domaine. J'avais monté mon dernier cheval pour aujourd'hui et j'étais bien contente de pouvoir rentrer chez moi pour dormir un peu. Mais d'abord, je rentrai la blanche dans son box où je lui enlevai son licol ainsi que les guêtres et le couvre-rein qui était trempé maintenant ! Je rangeai le tout dans la sellerie avant de revenir auprès de ma jument pour m'en occuper un peu. Pendant qu'elle terminait sa ration de granulés, j'enlevai les quelques gouttes collées à sa robe avec le bouchon. Puis je lui curai les sabots et graissai la sole avec du goudron. Pour récompenser Baya, je lui donnai une petite carotte avant de ranger mes affaires et de quitter les écuries.

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confiance + 08 %
moral & soins + 10

+ 04 pommes

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Samedi 21 janvier
notre premier carrousel ♥

Une fois mes deux jeunes sortis et pansés, j'étais heureuse d'aller retrouver ma blanche pour une séance de carrousel avec quelques amies. Elle me salua de son petit hennissement habituel, toujours aussi mignonne. Chacun de mes poneys avait droit à son licol en cuir, gravé à son nom, je sortis donc celui de Baya de ma caisse et rentrais dans le box. J'offris un bout de de carotte, que je lui avais spécialement gardée, avant de lui enfiler le licol et de la sortir du box. Je n'avais plus beaucoup de temps avant l'heure du rendez-vous, aussi me dépêchais-je de la brosser, de démêler ses crins et de lui curer ses quatre sabots ! Comme Baya était coopérative, cela allait plutôt vite. Satisfaite, je me rendis dans la sellerie pour y chercher le matériel de ma blanche. Je la sellai, mettant en dessous de la selle un tapis HFI bleu marine ainsi qu'un amortisseur en mouton synthétique. Puis, j'enroulai les bandes de polo bleues autour de ses deux antérieurs avant de remplacer le licol par son bridon, et d'ajouter une bonnet bleu marine lui aussi. Une fois ma welsh prête, je la détachai et l'emmenai tranquillement vers le manège.

(manège)

Je rentrai ma blanche aux écuries, super heureuse de cette après-midi que j'avais passé, ça avait été juste extra ! Baya elle, semblait contente de retrouver le confort de son box et, elle se jeta sur sa ration de granulés. De mon côté, après avoir enlevé ma bombe et refais ma queue de cheval, je me dépêchai de la desseller pour qu'elle soit tranquille. Je rangeai soigneusement le matériel dans la sellerie avant de revenir auprès de ma welsh pour la brosser un peu. Je lui curai aussi les sabots, avant de décider de la laisser tranquille et de quitter le Haras.

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Dimanche 22 janvier
on essaie des nouvelles choses, encore et encore

Après une rapide pause déjeuner au club-house, j'étais de nouveau au taquet pour aller m'occuper de ma ponette chérie ♥. La blanche m'accueillit avec des hennissements joyeux, sans doute venait elle de terminer sa ration et elle avait donc envie de sortir, se dégourdir les papates. Je me faufilai à l'intérieur du box et la câlinai, comme si je ne l'avais plus vue depuis six mois. Choyer mes poneys faisait partie intégrante de mes priorités et, j'aimais beaucoup passer du bon temps à leurs côtés, surtout avec Baya qui m'accompagnait depuis septembre déjà ! Ensuite, je lui mis le licol et la sortis dans l'allée pour la brosser. Une ponette blanche, ce n'est pas évident à garder propre et ça demande beaucoup, beaucoup de travail. Je profitai de ce pansage pour faire un petit check-up de la santé de ma blanche, juste pour voir si une petite blessure ne m'aurait pas échappé. Heureusement, non ! Baya n'avait rien du tout, elle pétait la forme. Je me dépêchai de terminer le brossage, puis soulevai un à un ses sabots pour les curer puis, les graisser. Enfin, je passai une petite éponge à peine humide sur ses naseaux et à la commissure de ses lèvres, pour enlever les petites croutes. Cela de fait, je rangeai mes brosses et allai dans la sellerie. J'y cherchai une cordelette et une paire de bandes de polo bleues marines. J'en équipai rapidement Baya puis la détachai, et l'amenai dans le manège.

(manège)

Baya avait été ex-tra ! Vraiment géniale pour cette séance. Je la rentrais donc dans son box, une pointe de fierté dans le coeur, car je mesurais enfin tout ce que nous avions parcourus depuis son achat, en septembre dernier. Il y avait eu des hauts, mais surtout des bas & des grandes période des questionnements. Maintenant, je savais enfin quelle voie suivre avec ma blanche, mon adorable petite ponette, ma pestouille. Oui, ... nous faire plaisir ! Peu importe les compétitions, j'avais juste envie de me faire plaisir avec ma mémère. Cette décision prise, je le dessellai puis, la brossai avec soin jusqu'à ce qu'elle soit sèche. Enfin, après avoir rangé le matériel, je lui donnai une petite friandise pour la récompenser. Je finis par quitter les écuries, le baume au coeur.

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confiance +14 %
moral & soins +20
pommes +8

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First pony ~

✿ Préparation

Comme j'avais encore du temps devant moi et que je comptais bien profiter de la météo plutôt calme ce jour-là, j'avais donné rendez-vous à Axelle au terrain de cross. Je n'en avais jamais beaucoup pratiqué, aussi choisissais-je de monter Baya, qui était de loin la plus calme et la plus expérimentée des trois poneys. J'avais une courte demie-heure pour la préparer, j'essayais donc de ne pas perdre de temps et, après lui avoir fait quelques câlins je lui mis le licol pour l'attacher hors du box. Baya était un peu plus sale que d'habitude, car je n'avais pas eu le temps de bien m'occuper d'elle à fond ces derniers jours, avec l'arrivée d'Ethnique. Et aujourd'hui je n'allai encore pas avoir le temps de la décrasser à fond, du moins pas maintenant. J'enlevai cependant le principal avec une étrille en caoutchouc, puis un bouchon. Je curai aussi ses quatre petits sabots, et passai un rapide coup de bouchon dans ses crins pour en enlever la paille. La blanche se laissa tranquillement faire, appréciant comme une petite mémé les soins. A chaque fois que j'étais en présence de Baya, je ne pouvais m'empêcher de penser au chemin parcourut depuis septembre dernier, alors que j'étais encore sans grande expérience avec les chevaux. Dire que maintenant j'en possédais quatre, et tous des poneys aussi différents les uns que les autres ! Mais je ne m'attardai pas trop la dessus, et allai rapidement chercher le harnachement de Baya dans la sellerie. Je lui mis un ensemble bordeaux, mon grand keaf du moment, en n'oubliant pas les guêtres ainsi que les cloches: en cross, il faut se protéger ! Pour moi, une bombe ainsi qu'un protège-dos faisaient l'affaire. J'enfilai par-dessus un anorak coupe-vent, puis détachai Baya et l'emmenai dans le terrain de cross, pressée de retrouver Axelle.

＃ Suite

EN COURS

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Tout me ramène à toi ＃~

Avant de partir, j'avais envie de passer un petit moment avec Baya. La blanche me reçut dans son box avec une gamme de hennissements joyeux, qui m'étaient tous destinés. Rien que cela, ça me fis déjà chaud au coeur surtout qu'en ce moment je n'avais plus trop de temps pour monter Baya tout les jours. Mais la ponette semblait se porter bien, et me laissa lui mettre le licol et la sortir dans l'allée. J'avais maintenant l'habitude de la panser sans devoir l'attacher, et je laissai donc la longe posée sur son encolure juste pour qu'elle ne traine pas par-terre. Baya s'ébroua puis laissa retomber sa tête, comme si elle était déjà fatiguée. Je savais d'avance qu'elle allait bien profiter du brossage ! D'ailleurs, je la pansai à fond, jusqu'à ce qu'elle soit totalement détendue & toute propre. J'en profitai pour lui graisser les sabots, ce que je n'avais pas fais depuis pas mal de temps puis rangeai mes brosses dans ma caisse. Je me rendis dans la sellerie pour y chercher le harnachement de la blanche. Aujourd'hui la ponette allait être en bleu marine ! Je revins auprès d'elle, et posai le tout sur la porte du box pour ne pas que les cuirs trainent par terre. Baya releva vivement sa tête, pointant ses petites oreilles vers moi. La blanche se laissa seller & brider sans renâcler, puis je mis ma bombe & la conduisis jusque dans le manège pour une petite séance de pony-games.

(manège)

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+ 02 pommes

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« I got a pocket full of sunshine. »
→ Découverte, mardi six.

Il y a des coups de coeur que l'on explique pas. Vous pouvez de suite achetez, sortir vos portes feuilles, prendre les rênes en main, et s'en aller, une nouvelle monture sous le bras. Ça avait été mon cas aujourd'hui, en achetant la belle Baya, un incroyable championne. Elle allait occuper mon quinzième box, que j'avais préparé en son honneur. J'étais heureuse de cette arrivée dans mes écuries. J'avais toujours vu cette jument de loin, lors de séances à plusieurs. Mais aujourd'hui, je pouvais la toucher, lui passer une selle sur le dos, apprendre à la connaître. J'étais heureuse.

Longe dans la main, je marchais aux côtés de la belle ponette welsh. Elle portait son licol en cuir, gravé en son nom. Nous prenions la direction des écuries d'Ecaussines, quittant le domaine de la Ponnatitude. Ça devait lui déchirer le cœur, c'était comme quitter le foyer a notre majorité... Elle avait passé énormément de temps dans ces écuries, elle devait maintenant changer de propriétaire, de cavaliers. Je savais qu'elle n'était pas entre de si bonnes mains que celle d'Happy, mais j'allais faire de mon possible pour combler cette championne. Elle plaisait énormément. Le travail à pieds, les balades, c'était mes discilplines préférés ! Je voulais lui vendre une belle fin de vie, à cette ponette. Nous arrivions justement à hauteur de mes écuries. Je lui indiquai le chemin avec mon majeur ; lui faisant découvrir l'endroit où elle allait dorénavent vivre. Je lui expliqué comme à un bébé, même si j'étais persuadée qu'elle ne me comprenait pas.

- Et là ma belle, c'est ton box.

Je poussai le loquet, et fis entrer la belle welsh dans son nouveau chez soi. Je lui laissai le temps de découvrir, que ce soit l'abreuvoir, la paille, la hauteur, la superficie... Elle devait prendre son temps pour s'habituer, je ne voulais pas la brusquer. Je ne l'avais pas encore essayé sous la selle, et je ne voulais pas le faire tout de suite. Du temps, c'est ce qu'il, lui fallait. Je me baissai pour rattraper la longe, et l'accrochai à un des barreaux du box. Je sortis, et pris ma boîte de pansage, posée sur le rebord du box d'Arobaze, son voisin de box. Je l'ouvris calmement, et pris une étrille américaine. J'aimais tout chez Baya, sauf sa longue crinière. Je ris en voyant qu'elle dépassait largement ses épaules... Je calai l'étrille américaine dans ma main droite, et débarasser son poil de la poussière. Elle se laissait faire, d'un air triste. Je déposai un baiser sur son front avant de prendre une nouvelle brosse : le bouchon. Je le passai par mouvements énergiques sur sa robe claire, pressée. Je regardai ma montre, voyant qu'il était bientôt l'heure du partir du haras pour aller manger. Je me dépêchai alors à brosser son poil, terminant par un coup dépousette pour lustrer le tout. Je fouillai ma boîte en quête de mon cure-pied, que je finis par trouver tout au fond. Je me baissai, attrapant l'antérieur droit de Baya, et dégagant la sole. Je fis de même avec les trois autres membres, et quittai le box en courant.

- Au revoir ma belle, je reviendrai te voir dès que je le peux !

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Rencontre avec le bonheur
dimanche 11 mars

Chacun de mes pas me guidés vers un moment inoubliable. Axelle m'avait confié Baya pour le temps de son absence. Baya, une si merveilleuse ponette ! Je voulais m'en occuper depuis si longtemps ! J'avais le cœur léger, le bruit de mes bottes résonnaient faiblement dans l'allée couverte des écuries d'Ecaussines. Baya était belle et bien la, dans son box, la tête sortis, les yeux mi clos, quelques brins de pailles dans la crinière, du foin qui dépasse du coin de sa bouche. Quand elle me vu, elle ouvrit ses beau yeux sombres, et secoua son encolure, faisant des oui avec la tête. Mais oui ma belle, tu es contente ! Je m'approchais d'elle. La belle crème me fit plein de petits bisou, réclamant câlins et friandises. Je me baissa, et fouilla dans mon sac que j'avais posé contre l'un des murs du box de la jument. J'en sortis une pomme coupés en quartier. C'est ça que tu veux ? Elle étendis son encolure, essayant à tous prix de me chipper cette pomme des doigts. Je lui tendis un morceau, qu'elle mangea, si contente. Après cela, j'ouvris la porte de son box. Elle sortit à moitié, voulant à tous prix sortir de son box, passer un bon moment, trouver un instant de liberté… Elle veut cela, elle l'aura. Je ne pouvais rien refuser à cette si belle bouille. Je lui passa un licol de couleur bordeaux. Je pris la longe en nylon et la sortie du box. Je l'attachais devant son box, prenant une étrille, je commença son brossa, après lui avoir montré la brosse. Je la brossais doucement, appréciant cela, Baya finissait sa sieste que j'avais interrompu. Je pris ensuite mon bouchon. Je commença par le frotter contre une barrière pour enlever la fine couche de poussière. Je commença à brosser la jument, coiffant ses si beaux crins... J'avais rarement vu une crinère de cette qualité. Je lui fis une vingtaine de petites tresses d'écurie. La brosse préféré de Baya était la brosse douce. Elle aimait que je lui panse la tête avec ma brosse en soie. Elle appréciait moins que je lui cure les pieds, mais elle les donna sans faire trop d'histoire. Je me releva ensuite, jetant un cou d'œil par la grande fenêtre de l'écurie d'où s'échappe de belles éclaircies. Promenades ? Dis je à la jument. Baya serait surement satisfaite de cet perspective.

[Balade]

J'arrivais aux écuries, marchant tranquillement, alors que Baya trottinait derrière moi. Pressés de retrouver son petit nid douillé. Je lui enleva le filet, et je la laissa entrer dans son box. Elle se jeta sur son abreuvoir, elle avait eu soif pendant cette balade. Pendant qu'elle buvait, je la dessella. Après lui avoir donner une petite friandise, je vérifia rapidement qu'aucun cailloux ne blésaient les sabots la jument, puis je lui remis le licol, l'emmena au paddock.

[ Paddock]

Baya n'avait presque que brouter. Ne s'étant pas rouler, je la brossa très rapidement, puis je cura soigneusement ses sabots. La touche finale: une petite couche de graisse sur ses pieds de gazel. Je la remis au box tranquillement, après un dernier petit câlin.

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« La quiero a morir. »
→ Soin, mercredi 21.

Je n'arrivais toujours pas à m'habituer. Je n'arrivais toujours pas à me dire que cette welsh était à moi, qu'elle m'appartenait. Je l'avais vu tellement de fois avec Happy, toute les deux, en parfaite osmose. Ça me fendait le cœur de ne plus les voir ensemble. Mais comme je le disais souvent : c'était la vie. Elle était maintenant dans mon écurie, maintenant dans mon grand domaine. Cette petite championne avait changé de box, changé de vie. Un changement radical, oui, après plusieurs mois de vie commune avec son ancienne propriétaire.

Je poussai la porte du box, découvrant la jeune welsh allongé par terre. Je m'assis à ses côtés, posant ma tête sur son dos poil. Elle était calme, posée. On aurait dit qu'elle avait fait ça toute sa vie. J'imaginai alors la scène, les mois précédents. Je me redressai, et flattai l'encolure de la jeune jument. Celle ci se leva à son tour, et se secoua, contente de pouvoir enfin se dégourdir les jambes. J'allai aujourd'hui la monter pour la toute première fois. J'étais pleine d'angoisse, pleine de peur. Je ne savais comment faire, je ne l'a connaissais pas tellement. J'avais donné rendez-vous à Happy sur le terrain de cross à quatorze heure, ce qui me laissait une bonne demie-heure pour préparer la belle. Je lui passai le licol en cuire inscrit à son nom, et la fis sortir de son box. Là, je a laissai regarder un peu partout. Je savais qu'elle n'était pas encore bien habituée, qu'elle ne connaissait pas tout les recoins de mon écurie. J'attachai la longe du licol à un des anneau d'attache qui parsemaient mon couloir, et déposai un baiser sur sa douce encolure. Elle commençait elle aussi à perdre son poil d'hiver, à goûter aux joies des températures montantes. Je caressai son encolure, et me baissai pour attraper quelques brosses. Je pris en premier l'étrille américaine, qui allait me permettre d'éliminer tout les poils d'hiver. Je souris, et passai calmement la brosse sur sa robe naissante. En quelques minutes, le sol était passé de propre à poilu ! Je poussai avec mon pied les touffes de poils, et fis l'autre côté. Une fois cette étape terminée, je passai un dernier coup de bouchon, la félicitant pour sa sagesse extrême. Je curai ses sabots, et me redressai péniblement, prête pour la suite. Je pris la direction de la sellerie, où je pris un tapis, une selle, un amortisseur et un filet. La jument allait être équipée ! Je posai le tapis sur son dos, et rajoutai l'amortisseur. J'avais opté pour un ensemble vert pomme, idéal sur un terrain de cross. Je terminai le tout en posant ma selle en cuire noire sur son dos, et harnachai au niveau de sa tête. Nous étions prête, prête à décoller.

( cross )

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Pour les 2 d'Axelle

Confiance +12
Soin & moral +8

pommes +6

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« Rencontre avec le bonheur. Magnifique résumé !

confiance +8%
moral & soins +6

+ 4 pommes.

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« My only dream is about you and I. »
→ Soins, dimanche huit.

Aujourd'hui, c'était avec le sourire que je me dirigeai vers le box de Baya. Cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi heureuse de rejoindre le box de ma nouvelle jument. Je venais d'apprendre quelque chose qui me réjouissais, j'étais d'ailleurs pressée d'être dans neuf mois. Je poussai la porte du box de ma jument, et tendis ma main, voulant qu'elle me reconnaisse. Elle commençait tout juste à me faire confiance ; à apprendre à me connaître.

» Salut ma belle, coucou ma chérie. Tu sais quoi ? J'ai concrétisé un élevage de welsh avec Encre, mon amie. Je suis heureuse de t'apprendre que tu es en quelque sorte la mère de l'élevage, celle qui va faire le plus de poulain. Tu es officiellement une poulinière, mais je vais quand même te monter, ne t'inquiète pas pour ça. Enfin, le plus important reste à venir... Tu vas être maman ! Et oui, encore une fois je sais. Mais cette troisième fois, ce sera Bilbao le père, tu auras un champion dans le ventre !

Je ne pouvais m'empêcher de sourire, j'étais contente pour elle. Notre élevage allez se concrétiser, enfin ! Je déposai un baiser sur l'encolure de la concernée, et lui passai le licol en cuire gravé en son nom. Je la sortis du box, et admirai le paysage. Baya allait bientôt rejoindre l'écurie intérieur, munis de box de poulinière. Elle allait être privée de son box avec fenêtre sur la forêt, dommage pour elle. Je repris convenablement la longe dans mes mains, et attachai la longe à un des anneaux d'attache. J'en profitai au passage pour caresser Arobaze, qui me montrait doucement sa belle tête d'anglo-arabe. Je souris, et me dirigeai vers ma sellerie pour prendre quelques brosses. Je pris trois brosses, et me remis aux côtés de ma jument. Je passai tout d'abord l'étrille américaine, enlevant les derniers poils d'hiver. Certains chevaux n'avaient rien perdu, pour Baya, s'était tout le contraire. Son poil était blanc neige, propre comme jamais. Je souris, et posai la brosse avant de prendre le bouchon ou brosse dure. Je refis la même chose, passant cette fois ci que sur les parties charnues. Je reposai la brosse contre le sol, et appuyai mon épaule contre la sienne. Automatiquement, la jument me donna son pied, bien dressée. Je la félicitai de la voix, et fis les autres membres. Je finis par détacher la longe de l'anneau et la remis dans son box, ouvrant la fenêtre du haut.

» Au revoir ma belle !

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« My only dream is about you and I. »
→ Soins, dimanche 22.

Je revins du paddock complètement essoufflée. Je ne savais pas pourquoi, mais la distance entre mes écuries et ces charmants près m'avait complètement tué. Il me restait encore beaucoup de chevaux dont je devais m'occuper, mais je n'avais plus la tête à ça. À peine avais-je le temps de souffler car j'étais en vacances, que je devais déjà les lâcher pour partir en vacance avec ma mère. La vie était injuste. Je me dirigeai vers le box Baya, qui se trouvait en face de l'écurie extérieure, dans l'écurie réservée à l'élevage. Elle était magnifique cette jument, et j'étais contente de l'avoir parmi l'élevage qui se concrétisait de jour en jour. C'était la mère de l'élevage, la mère de ma pouliche, c'était fantastique de l'avoir à mes côtés.

J'ouvris la portière du box, et entrai dedans, le plus calmement possible. Les box de cette écurie étaient beaucoup plus grands, spacieux et confortables. Je me mis aux côtés de la jument, et passai le licol en cuire sur son bout du nez. Nous allions prendre notre temps pour un petit pansage, pour une séance de broutage ou pleins d'autres choses. Je caressai l'encolure de la jument, et ouvris la porte du box. Je la sortis, la laissant regarder aux alentours. Baya était calme, fermait les yeux. Le vent lui soufflait contre ses naseaux, nous étions bien, toutes les deux. Je déposai un baiser sur ses naseaux qui ne cessait de bouger. Son souffle était rapide, et sec. J'accrochai la longe à un des anneaux d'attache qui était dehors. Je me dirigeai vers ma sellerie, me disant que c'était la dernière fois en trois semaines que je profitais de mes chevaux, c'était loin d'être facile.

« Un petit pansage, ma belle. »

J'avais un ton sec et rêche, je n'avais pas vraiment l'envie de sourire aujourd'hui. Je pris une brosse, ma brosse dure. Je la posai sur son incroyable encolure, et la passai, par des mouvements amples. Je me déplaçai petit à petit vers son dos, et finis par la croupe. C'était simple de panser un cheval, même si je n'éprouvais aucun plaisir à le faire. J'avais l'impression d'être sans sentiments, de ne rien ressentir à part de la colère et de la haine. Je voulais tellement profiter de mes chevaux que ça faisait mal de se voir supprimer ce besoin vital. Je terminai le pansage par un curage de sabot, et en profitai pour la remettre dans son box. J'y accrochai une pierre de selle, pour qu'elle puisse passer son temps en mon absence. J'espérai que quelqu'un puisse s'en occuper en mon absence, de cette petite puce au grand cœur.

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confiance +8%
moral & soins +6

+4 pommes

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Après les cours, je me précipite au Haras De Pado est reçois un texto d'Axelle...

" Salut Maëlle, c'est ok pour que tu t'occupe de mes chevaux. Voila tu commences quand tu veux (: Bye. "

Je range mon portable est saute de joie. Je vais voir Baya la première jument qui m'était attribué. Je me dirige au Domain d'écaussine. J'entre dans les écuries est cherche Baya. Je voie une tête créme au yeux bleu dépassé des boxs, c'était elle je vais la voir.

" Salut toi. Alort aujoud'hui ont va faire quoi ? "

Comme Baya était un peu vielle je vais la mettre au pré, mais avant je vais la pansé. Je rentre dans son box, lui met son licol est la caresse. Elle êtait vraiment superbe, c'est yeux bleu comme le ciel et sa robe créme. Je sors la jument du box est l'accroche pour commencé mon pansage. Je sors de la boîte le bouchon, je frotte sur sa belle robe. Je sors ensuite l'épousette que je passe précisément pour faire brillé sa robe créme. Je fini par c'est crin long est soyeux, par c'est sa sabots est je lui mouille c'est naseaux est autour des yeux.

" Voila ma belle tu es splendide ! "

Je lui donne un bonbon est lui met un masque contre les mouches est la détache pour l'enmené au pré.

Paddock

Baya a ma droite elle marchée a ma vitesse. Je la rentre a l'écurie la ou tout les chevaux hénissé en coeur. Je rentre la jument dans son box, lui enlève le licol est lui dépose un bisous sur son nez. Elle êtait vraiment gentille est malgré c'est 16 ans elle êtait remplie de jus.

" A Samedi Baya (: "

Je part m'occupé des autres chevaux.

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j'attends la fin (:

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confiance +4%
moral & soins +6

+ 2 pommes

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BAYA
sortie au paddock puis balade

Aujourd'hui je devais sortir Baya. Au programme longue sortie au paddock pour se détendre puis balade en forêt pour se remettre en jambes en douceur. Avec les affaires de la jument : une boîte de pansage et un licol je m'approchai de son box. Le froid récent avait poussé tous les chevaux à être couverts au box comme au pré, ce fut donc une belle bouille crème ornée d'une couverture pistache liseré bordeaux un peu sale que je trouvai dans le box. Je souris et la caressai avec douceur pour les présentations avant de rentrer dans son box pour lui passer le licol. Après l'avoir eu sortie de son box je l'attachai pour simplement brosser ses membres et curer ses sabots. Sous la couverture elle devait être sûrement propre, pour le moment donc pas la peine de trop traîner. Le jour se lever en douceur sur le domaine, je détachai donc la belle crème et la menai vers les paddocks verts du Domaine d'Ecaussines.

paddocks.

De retour des paddocks Baya était toute calme. Sa couverture était un peu plus sale que ce matin, elle avait sûrement due se rouler. Je l'attachai donc et commençai par brosser ses membres et son encolure avec le bouchon. Cette brosse suffisait amplement pour la rendre propre. Puis je retirai sa couverture dans le calme avant de la brosser avec une brosse douce pour retirer la poussière du poil, mais Baya restait relativement propre grâce à la couverture. Avec une brosse spécifique je démêlai soigneusement ses crins sans trop en casser pour garder sa belle touffe de crins fournie. Une brosse de tête me permit de nettoyer sa frimousse et je dégageai la boue de ses sabots avec le cure pieds avant de les graisser généreusement. Laissant Baya quelques instants je parti à la recherche de sa selle, son amortisseur, son tapis, son filet et ses protections de cross. Je commençai donc par mettre les guêtres fermées sur ses 4 membres accompagnés de cloches en néoprène, le but étant de ne pas blesser la belle. Ensuite je posai sur son dos son tapis de selle pistache avec la bordure bordeaux puis l'amortisseur et enfin la selle. Je sanglai soigneusement puis passai le filet sur sa tête. Je la menai devant les écuries, ressanglai et mis le pied à l'étrier. Direction la forêt.

balade.

De retour de balade j'attachai la jument qui avait marché dans le calme et commençai par retirer son filet pour lui mettre son licol avant d'enlever tout le reste. Je pris soin de bien la brosser attentivement surtout les membres qui étaient intactes cependant. Ensuite je curai ses sabots où des cailloux étaient coincées par endroits mais je pus facilement les dégager. Pour finir je lui remis sa couverture sur le dos et la mis dans son box. Dans sa mangeoire je versai une ration de grain & lui donnai son foin du soir. Baya était vraiment une super ponnette.

Invité

confiance +07%
moral & soins +10

+ 4 pommes

» Baya. Welsh (j)